[IRM] SEP Crane + moelle

IRM ENCÉPHALIQUE ET MEDULLAIRE

CONTEXTE
Surveillance de sclérose en plaque
 
TECHNIQUE
Encéphale,
– Séquences avant injection de produit de contraste gadoliné : 3DFLAIR, axiale T2, axiale diffusion, axiale T1
– Séquences après injection de produit de contraste gadoliné : axiale T1
 
Moelle,
– Séquences avant injection de contraste : sagittale T1, sagittale T2, axiale T2
– Séquences près injection de contraste : sagittale T1, axiale T1 après suppression du signal de la graisse
 
RÉSULTATS
Examen recalé et comparé à celui réalisé le ,
 
Encéphale,
Multiples lésions en hypersignal FLAIR périventriculaires, ovalaires, perpendiculaires au plan des ventricules, atteignant le corps calleux.
Présence de lésions infra tentorielles.
Présence de black hole.
Absence de prise de contraste lésionnelle visible.
Trophicité cérébrale conservée.
Structures médianes en place.
Pas d’hypersignal de diffusion du parenchyme cérébral.
 
Moelle,
Pas d’anomalie de la statique rachidienne sur cet examen réalisé en décubitus dorsal.
Respect de hauteur des corps vertébraux.
Respect de la ligne spino-lamellaire.
Pas d’anomalie constitutionnelle du calibre du canal rachidien.
Pas d’anomalie du signal du cordon médullaire ou du LCR.
Disques en place
Pas d’anomalie du signal discal
Pas d’arthrose inter-apophysaire postérieure
Foramens de conjugaison libres.
Pas d’anomalie de trophicité musculaire.
 
CONCLUSION
Stabilité de la charge lésionnelle.
Pas de lésion active se rehaussant décelée.
 
Iconographie mise à disposition sous forme de planche papier et conservée localement sur le PACS.
 


 
 

Articles connexes

Sclérose en plaque et pathologies démyélinisantes

[IRM] Mammaire

IRM MAMMAIRE

INDICATION
Bilan

TECHNIQUE
Séquences axiales T1, T2, STIR.
Dynamiques T1 Fat Sat avant et après injection du Gadolinium pendant 7 min + soustraction.
Sagittale THRIVE après Gadolinium.

RÉSULTATS
Seins de densité de type
Rehaussement matriciel de fond : modéré, non gênant.

Sein droit :
Absence de masse ou de rehaussement non masse.
Absence de distorsion.

Sein gauche :
Absence de masse ou de rehaussement non masse.
Absence de distorsion.

CONCLUSION
Absence de lésion suspecte.
ACR .. à droite.
ACR .. à gauche.

 

IRM Mammaire

[IRM] Rectum

IRM DU RECTUM

INDICATION
Bilan d’extension loco-régional d’un cancer rectal.
Résultats du TR :
Résultats de l’endoscopie :

TECHNIQUE
Opacification rectale, séquences T2 3 plans et séquence diffusion axiale.
Autres séquences :

RESULTATS
Tumeur :
Localisation du pôle inférieur par rapport à la marge anale :
Localisation du pôle inférieur par rapport au bord supérieur du sphincter interne
Localisation du pôle inférieur par rapport au bord supérieur du muscule puborectal
Localisation du pôle inférieur par rapport à la ligne de réflexion péritonéale :
Localisation aux muscles releveurs de l’anus, puborectal et sphincters interne et externe :
Pourcentage d’envahissement de la circonférence (25% / 50% / 75% circonférentiel) :
Siège sur la circonférence (antérieure / latérale droite / latérale gauche / postérieure ) :
Dimensions de la tumeur dans les 3 plans (hauteur, largeur et en antéropostérieur) :
Marge circonférentielle (avec le fascia recti) :
Envahissement du fascia recti (présence/absence) :
Envahissement de la ligne de réflexion péritonéale (présence/absence) :
Invasion vasculaire extra-murale (présence/absence) :

Extension de la tumeur dans le mésorectum :
T1 (sous-muqueuse)
T2 (musculeuse)
T3 : extension au mésorectum (perte de la musculeuse)
Distance minimale en mm du bord externe de la tumeur au fascia recti
T4 : Atteinte d’un organe adjacent :
Vessie, vagin, utérus, paroi pelvienne, prostate, vésicule séminale, grêle, colon.
Atteinte des releveurs : oui non>]

Extension ganglionnaire :
Ganglions dans le mésorectum (présence/absence) :
* Nombre :
* Taille et siège du plus gros (> 3 mm) :
* Distance du ganglion suspect par rapport au fascia recti (en mm) :

Autres ganglions pelviens (présence/absence) :

CONCLUSION
Extension tumorale : 
Adénopathies :
Atteinte à distance :

Classification T et N proposée : 


Fiches connexes

Tube digestif – Cancer du rectum [IRM]

TNM – Colon Rectum

[PH interventionnel] CH de La Rochelle

nuit_tours_de_la_rochelle_1Le service de radiologie du CH de La Rochelle recherche un radiologue à orientation interventionnelle et vasculaire afin de participer à une activité percutanée et endovasculaire en plein essor.

Equipe de 9 PH et 1 assistant

Conditions d’exercices multiples, à discuter

  • PH Contractuel
  • PH titulaire
  • Activité libérale possible

Plateau technique complet

  • 2 IRM, dont une 3T
  • 2 Scanners (64B avec imagerie spectrale et 16B).
  • 1 mammographe numérique
  • 3 échographes
  • Installation prévue en 2017 d’un scanner et d’une IRM supplémentaires

Activité interventionnelle

  • 1 salle de radiologie interventionnelle capteur plan Philips renouvelée en avril 2016
  • Un échographe dédié
  • 2 vacations hebdomadaires d’anesthésie générale
  • RCP pluri-hebdomadaires

Atouts

  • Hôpital dynamique
  • Qualité de vie : Proximité Ile de Ré et Ile d’Oléron

Contact

Dr Mélinda LEMPEREUR
Melinda.lempereur@ch-larochelle.fr
05 46 45 51 98

[TDM] Sinus + Thorax

SCANNER THORACIQUE ET DES SINUS

CONTEXTE
Bilan
 
TECHNIQUE
Scanner des sinus basse dose sans injection de produit de contraste.
Scanner du thorax réalisé sans injection de produit de contraste.
 
RÉSULTATS
Sinus,
Bonne pneumatisation et bonne aération des cellules frontales, sphénoïdales, ethmoïdales, maxillaires et mastoïdiennes.
Pas d’épaississement muqueux, ni niveau hydro-aérique visible.
Absence de matériel dentaire visualisée dans le fond des sinus maxillaires.
Pas de déviation significative de la cloison nasale.
Pas de lésion ostéolytique ou ostéocondensante suspecte.
Pas de parodonthopathie apicodentaire visualisée.
Pas de déhiscence de lame criblée de l’ethmoïde.
Pas de procidence carotidienne visible.
 
Thorax,
Pas de foyer parenchymateux organisé visualisé.
Pas de nodule suspect vu.
Pas d’anomalie du calibre des bronches.
Pas d’adénopathie axillaire ou médiastinale.
Pas d’épanchement pleuro-péricardique significatif.
Calcifications vasculaires.
Pas d’anomalie de la paroi thoracique.
Pas d’anomalie sur les coupes passant par l’abdomen.
Pas de lésion ostéolytique ou ostéocondensante suspecte.
 
CONCLUSION
Absence de signe de sinusite aigue ou chronique.
Absence de configuration des cavités sinusiennes favorisant le confinement.
Absence d’anomalie thoracique visualisée.

 

Sinusites

 

Anatomie – Sinus

 

Thorax

 

 

Épaule – [Échographie]

Etude de l’épaule en échographie

  • Pas d’écho sans radio
  • Etude antérieure
    • Tendon subscapulaire
      • Etude en rotation externe pour mise dans l’axe de la sonde
      • Flexion du coude
      • Longitudinal et transversal
      • Repérer le tendon du long biceps
      • Patho
        • –Méplat
        • –Rétraction
        • –Désinsertion du trochin
        • –Hypo-échogène
    • Tendon long biceps
      • Main sur la hanche, coude au corps
      • Longitudinal et transversal
      • Patho
        • Epaississement global à Capsulite rétractile
        • Aspect irrégulier
        • Hyperhémie
        • Clivage jusqu’à rupture
        • Sub luxation
Echo épaule
  • Etude supérieure
    • Tendon supra-épineux
      • Face superficielle, en arrière de la bourse sous acromiale
      • Face profonde, en avant de la grande tubérosité et du cartilage
      • Etude avec bras sur la cuisse puis bras sur le haut de la fesse
      • Repérer et allonger le tendon long biceps
      • Patho
        • Lésion transfixiante : lésion hypo ou anéchogène de toute l’épaisseur du tendon, perte de laspect fibrillaire des deux faisceaux, signe du méplat (inconstant et non spécifique), aspect décoiffé (pas de tendon visible), signe du double épanchement (très spécifique), érosions osseuses,
        • Lésions non transfixiantes de la face superficielle : faisceau superficiel patho, faisceau profond conservé, BSAD pathologique
        • Tendinopathie : augmentation de volume du tendon, hyperhémie en Doppler couleur, possibles calcifications.
      • Articulation acromioclaviculaire
  • Etude postérieure
    • Tendon infra épineux

 

Conflit vasculo-nerveux

CRITÈRES SÉMIOLOGIQUES D’un Conflit vasculo-nerveux

  • Doit se dérouler dans la Root entry zone : transition entre la myéline centrale d’origine oligodendrocytaire et la myéline périphérique (cellules de Schwann).
  • Entre 2 et 6 mm de l’émergence protubérantielle.
  • Critères d’imagerie nécessaires
    1. Croisement au niveau de la root entry zone
    2. À Angle droit d’un vaisseau et d’un nerf crânien
    3. Déformation et refoulement du nerf

Hydrocéphalie

Mécanisme

  1. Hyper-sécrétion (< 5%)
  2. Augmentation de la résistance à l’écoulement du LCS
  3. Augmentation de la pression veineuse
    • Thrombose
    • Craniosténose
    • Anévrysme de l’ampoule de galien

 

CLINIQUE

  • Aigu : HTIC
  • Chronique (triade de Hakim) : troubles de la marche, démence, troubles sphinctériens

 

CRITÈRES SÉMIOLOGIQUES DE l’hydrocéphalie

  • Dilatation ventriculaire
  • Arrondissement des angles latéraux des ventricules
  • Préciser les ventricules concernés
  • Disparition de la visualisation des structures corticales ou des espaces sous arachnoïdiens
  • Résorption trans épendymaire
  • Engagement ?
  • Regarder Aqueduc de Sylvius, trous de Monroe et foramen de Magendie
  • Rechercher obstacle à hydrocéphalie non communicante è appeler chirurgien en urgence

 

 

Hydrocéphalie communicante (à pression normale)

  • Index de Evans > 0,3
  • Angle calloso-maginal < 90°
Index de Evans

Index de Evans

Angle calloso-maginal

Angle calloso-maginal

 

LIENS

[Rx] Mammographie

8MAMMOGRAPHIE ET ECHOGRAPHIE MAMMAIRE

INDICATION
Examen systématique chez une patiente de X ans, sans antécédent personnel ou familial de cancer du sein.
Patiente ménopausée sans traitement hormonal substitutif.
Comparaison à la mammographie pratiquée le X.

EXAMEN CLINIQUE
Normal.
Seins souples.
Absence de nodule mammaire, absence d’adénopathie axillaire.

RÉSULTATS

MAMMOGRAPHIE BILATÉRALE (2 incidences) :
Seins de densité de type[< X>] de la classification de l’ACR.
Répartition symétrique du tissu fibro-glandulaire.
Absence d’opacité nodulaire ou stellaire d’allure suspecte.
Absence de distorsion architecturale.
Absence de foyer de microcalcifications.
Absence d’anomalie du revêtement cutané et des aires axillaires.

ECHOGRAPHIE MAMMAIRE BILATERALE :
Absence d’image tissulaire, liquidienne ou atténuante des deux seins.
Absence d’adénomégalie axillaire bilatérale.

CONCLUSION
Absence d’anomalie suspecte de malignité.
ACR [<1>] à droite.
ACR [<1>] à gauche.

Clichés remis à la patiente.


 

Articles connexes

Échographie mammaire

Mammographie [ACR]

Mammographie [sémiologie]

Mammographie [technique]

 

 

Poste de CCA à Paris en novembre 2016

Poste de CCA en Neuroradiologie Diagnostique à Bicetre disponible au recrutement pour Novembre 2016.
L’activité est de :

– 60% clinique :
  • (scanner neuro/ORL à 80%, 20% de périphérique), IRM (100% Neuro/ORL, imagerie fonctionnelle : tracto, spectro, diffusion, perfusion, VBM, etc..).
  • participation / animation des staffs hebdomadaires de Neurologie, ORL
  • au minium 1 à 2 gardes par mois
  • astreinte de téléradiologie à domicile (rémunérée) : 1 soirée en semaine et 1 week-end par mois
structures_photo_logo_2589-20 à 40 % académique :
  • encadrement des internes (cours à la console, préparation des staffs du service) et des externes
  • participation aux publications / recherche clinique
  • cours / ED de neuroradio / ORL à la fac (environ 15 heures par an)
-0 à 20 % libre :
  • remplas, autres projets en fonction des possibilités du service et des souhaits du candidat.

Si intéressé, merci de contacter le Pr. Ducreux par email avec CV et lettre de motivation (denis.ducreux@bct.aphp.fr)

[US] Abdomen

ECHOGRAPHIE ABDOMINALE

INDICATION
Bilan

RÉSULTATS
Foie de taille normale, à contours réguliers, d’échostructure homogène.
Tronc porte et veines hépatiques perméables.
Voies biliaires fines.
Vésicule biliaire de taille normale, à paroi fine, ne contenant pas de calcul.
Pancréas, rate sans particularité.
Reins de taille normale, avec une bonne différenciation parenchymo-sinusale, cavités pyélocalicielles fines.
Vessie en réplétion au contenu transsonore, à parois fines et régulières.
Pas d’épanchement intra-abdominal.

CONCLUSION
Echographie abdominale sans particularité.

 

Abdomen douloureux aigu

[US] Abdomen Pelvis

ECHOGRAPHIE ABDOMINALE

INDICATION
Bilan

RÉSULTATS
Foie de taille normale, de contours réguliers, d’échostructure homogène.
Tronc porte et veines hépatiques perméables.
Voies biliaires fines.
Vésicule biliaire de taille normale, à paroi fine, ne contenant pas de calcul.
Pancréas, rate sans particularité.
Reins de taille normale, avec une bonne différenciation parenchymo-sinusale, cavités pyélocalicielles fines.
Vessie en réplétion, au contenu transsonore, à parois fines et régulières.
Utérus de taille normale.
Myomètre sans particularité.
Endomètre échogène, mesurant … mm d’épaisseur, en double feuillet.
Pas de masse pelvienne.
Pas d’épanchement intra-abdominal.

CONCLUSION
Echographie abdomino-pelvienne sans particularité.

 

Abdomen douloureux aigu

[US] Foie

ECHO-DOPPLER HÉPATIQUE

INDICATION
Bilan

RÉSULTATS
Foie de taille normale, d’échostructure homogène et contours réguliers.
Foie dysmorphique (hypertrophie du I, atrophie du IV), de contours irréguliers et d’échostructure grossière, nodulaire.

Tronc porte, branches portes intra-hépatiques perméables, de sens physiologique.
Veines hépatiques de calibre habituel, perméables, bien modulées en Doppler pulsé.
Voies biliaires fines.
Vésicule biliaire de taille normale, à paroi fine, ne contenant pas de calcul.

Rate de taille normale.
Splénomégalie (x x mm) homogène.

Pancréas et reins sans particularité.

Absence d’épanchement intra-abdominal.
Ascite de faible / moyenne / grande abondance.

CONCLUSION
Echo-doppler hépatique normal.
Foie d’hépatopathie chronique. Hypertension portale.
Nodule de mm (<10 mm) à contrôler en échographie dans 6 mois.
Nodule de mm (10-20 mm) à explorer par TDM et IRM  (cinétique vasculaire ?).
Nodule de mm (>20 mm) à explorer par TDM ou IRM  (cinétique vasculaire ?).

 

Foie – Dilatation des voies biliaires [algorithme]

Foie – Segmentation hépatique

Tumeurs hépatiques [algorithme]

[US] Foie stéatose

ECHO-DOPPLER HEPATIQUE

INDICATION
Recherche de stéatose.

RÉSULTATS
Foie de taille normale et morphologie normales, d’échostructure hyperéchogène avec gradient hépato-rénal.
Tronc porte et veines hépatiques perméables.
Voies biliaires fines.
Vésicule biliaire de taille normale, à paroi fine, ne contenant pas de calcul.
Pancréas, rate, reins sans particularité.
Absence d’épanchement intra-abdominal.

CONCLUSION
Stéatose hépatique diffuse sans nodule focal.

 

Foie – Lésions avec graisse intracellulaire

 

[US] Reins Vessie Prostate

ECHOGRAPHIE RENO-VESICO-PROSTATIQUE

INDICATION

RÉSULTATS
Reins en situation habituelle, de taille normale, avec une bonne différenciation parenchymo-sinusale, d’échostructure sans particularité.
Cavités pyélo-calicielles fines.
Uretères non vus.
Vessie en semi réplétion, au contenu transsonore.
Prostate explorée par voie suspubienne mesurant  x x  mm soit un volume calculé de cc.
Vésicules séminales sans particularité.
Après miction, résidu calculé à … ml.

CONCLUSION
Echographie réno-vésico-prostatique normale.
Pas de résidu post-mictionnel significatif.


Hypertrophie prostatique.
Résidu post-mictionnel … ml.

 

Prostate [échographie]

Rein [échographie]

 

[US] Testicules

ECHO-DOPPLER SCROTAL ET DES VOIES GENITALES PROFONDES

RENSEIGNEMENTS CLINIQUES


RÉSULTATS

DROIT GAUCHE
Dimensions : H x é x l  mm
Volume : H x é x l x 0,523 cc
Echostructure : normale, grossière, multinodulaire,striée Normale Normale
Nodules : O/N

taille / situation / échostructure

Non Non
Dilatation du rete testis : O/N Non Non
Microlithiase: O (grade,situ) / N Non Non
>]Calcification : O/N Non Non
Epididyme : taille / aspect

Tête /Corps/Anse épididymo-déférentielle

Déférent scrotal : visible (O/N)

Pas d’ectasie tubulaire

 

Déférent présent et plat

Pas d’ectasie tubulaire

 

Déférent présent et plat

Hydrocèle : 0 (coter en +) / N Non Non
Varicocèle : veines trop nombreuses (O/N)

Calibre des veines :

Reflux au cordon :O/N si oui, préciser

Intensité (+, ++,+++)

Durée en secondes

Non

< 2 mm

Non

Non

< 2mm

Non

Prostate : taille/poids

Echostructure

Calcifications

Canaux éjaculateurs (virtuels, dilatés, calcifiés)

Volume

Normale

Non

Non dilatés

Vésicules séminales : epaisseur mm
Ampoules deférentielles : présence/épaisseur mm

 

CONCLUSION

 

[IRM] Cheville

IRM DE LA CHEVILLE

INDICATION

TECHNIQUE
Coupes en pondération T2 fat sat dans les trois plans de l’espace.
Coupes sagittales et axiales en pondération T1.

RÉSULTATS
Absence d’épanchement articulaire.
Absence d’anomalie de signal péjorative des structures osseuses.
Respect des tendons long et court fibulaires, tibial postérieur, tibial antérieur, fléchisseurs et extenseurs des orteils et de l’hallux.
Intégrité des ligaments talo-fibulaires antérieur et postérieur et du ligament calcanéo-fibulaire.
Intégrité du ligament collatéral médial et du ligament calcanéo-naviculaire plantaire (spring ligament).
Intégrité de la syndesmose tibio-fibulaire inférieure.
Absence d’anomalie de l’aponévrose plantaire et du tendon calcanéen.

CONCLUSION
Examen normal.

 

[IRM] Epaule

IRM DE L’EPAULE

INDICATION
Bilan

TECHNIQUE
Coupes en pondération T2 dans les trois plans de l’espace. Coupes sagittales T1.

RÉSULTATS
La morphologie et le signal osseux sont normaux.
Absence d’épanchement articulaire.
Le tendon bicipital est en place, de calibre normal. Pas d’épanchement de la gaine tendineuse.
Intégrité des tendons sous-scapulaire, supra- et infra-épineux.
La trophicité musculaire est normale.
Aspect normal de l’articulation acromio-claviculaire.

CONCLUSION
Examen normal.

 

Epaule – Fissurations partielles

Épaule – Instabilité

Épaule – Lésions transfixiantes de la coiffe

Épaule – Tendinopathies de la coiffe des rotateurs

 

[IRM] Pieds

IRM DE L’AVANT PIED

INDICATION
Métatarsalgie

TECHNIQUE
Coronale T1
3 plans T2 Fat-Sat

RÉSULTATS
Pas de syndrome de masse ou de bursite des espaces inter-capito-métatarsiens.
Pas d’anomalie de signal des structures osseuses, en particulier pas de signe de fracture de fatigue.
Pas d’épanchement intra articulaire.
Pas d’anomalie de la plaque plantaire.
Pas d’anomalie des gaines tendineuses des extenseurs et des fléchisseurs.
Pas  d’infiltration ou bursite des tissus graisseux sous cutanés plantaires.

CR type patho à intégrer :
Nodule tissulaire de X mm situé à la face plantaire du Xème espace inter-capito-métatarsien témoignant d’un pseudo-névrome de Morton.
Lame liquidienne du Xème espace inter-capito-métatarsien témoignant d’une bursite inter-capitale.
Infiltration focale des tissus graisseux sous cutanée en regard de X, sans réelle bursite sous capitale.
Rupture en franc hypersignal T2 Fat-Sat de la plaque plantaire de l’articulation métatarso-phalangienne du Xème rayon, témoignant d’un syndrome du 2ème rayon.
Remaniements oedémato-géodique des berges de l’articulation cunéo-métatarsienne du Xème rayon témoignant d’une arthropathie du Lisfranc.

CONCLUSION

 

Pied

[IRM] Endométriose

IRM PELVIENNE

INDICATION
Évaluation d’une endométriose profonde chez une femme de… ans, G    P   , présentant des…
Examen effectué au…è jour du cycle.

TECHNIQUE
Remplissage vaginal et rectal à l’aide de gel échographique.
Séquences sagittale et axiale T2, axiale T1 et T1 FatSat, axiale T2 perpendiculaire au col utérin.

RÉSULTATS
Utérus antéversé et antéfléchi de taille normale : … cm de hauteur,… cm d’épaisseur et … cm de largeur.
Zone jonctionnelle fine :… mm d’épaisseur.
Endomètre régulier de… mm d’épaisseur.
Myomètre homogène; absence de léiomyome ou de signe d’adénomyose.
Ovaires de taille normale porteurs de plusieurs formations folliculaires.
Espaces sous péritonal antérieur:
Absence d’atteinte du cul-de-sac vésico utérin ou du dôme vésical.
Espaces sous péritonéal postérieur:
Aspect normal du torus, de la racine des ligaments utéro-sacrés du cul de sac vaginal, de la cloison recto-vaginale, de la paroi antérieure du rectum et du sigmoïde. Uretères respectés.
Pas d’épanchement intra-pelvien.

CONCLUSION

 

Endométriose pelvienne

https://www.pinkybone.com/adenomyose/

Position de l’utérus

[IRM] Myomes

IRM PELVIENNE

INDICATION
Femme de … ans, G    P   , présentant …
Examen effectué au …è jour du cycle.

TECHNIQUE
Séquences T2 TSE dans les 3 plans, Axiale T1 et diffusion.
Injection dynamique de gadolinium, puis Thrive T1 tardive.

RÉSULTATS
L’utérus est antéversé et antéfléchi de taille normale : … cm de hauteur, … cm d’épaisseur et … cm de largeur.
Il présente … myomes de siège interstitiel,[< sans portion nécrotique ou hémorragique, de signal habituel.
Le myome le plus volumineux mesure… cm et est de siège … .

Zone jonctionnelle fine:…mm d’épaisseur.
Endomètre régulier de… mm d’épaisseur, sans polype visible.
Ovaires de taille et aspect normaux; ils mesurent … cm à droite et … cm à gauche.
Absence d’hydrosalpinx.
Col utérin d’aspect normal.
Pas d’épanchement liquidien significatif.

CONCLUSION

 

Myomes utérins

[IRM] Cancer de l’endomètre

IRM PELVIENNE

INDICATION
Métrorragies post-ménopausiques, bilan d’extension loco-régional d’un cancer endométrial.

TECHNIQUE
Séquences axiale et sagittale strict, axiale T1, axiale T2 perpendiculaire au corps, diffusion axiale et QBTFE sur l’abdomen jusqu’aux hiles rénaux, sagittale dynamique gadolinium pendant 2,30 mn puis ax T1 gado (Thrive iso).

RESULTATS
Masse endométriale mesurant … cm.

En discret hypersignal T2 et hypersignal diffusion.
Envahissement myométrial de …., séreuse respectée.
Pas d’envahissement du corps ou de l’isthme utérin.
Respect de la vessie et du rectum.
Absence d’adénomégalie pelvienne ou lombo-aortique.

L’utérus est par ailleurs antéversé et antéfléchi de taille normale pour l’âge : … cm de hauteur, … cm d’épaisseur et … cm de largeur.
Ovaires atrophiques sans masse visible.
Pas d’épanchement liquidien.

CONCLUSION

 

Tumeurs pelvis – Cancer de l’endomètre

FIGO et TNM – Cancer de l’endomètre

 

[IRM] Pelvis

IRM DU PELVIS

INDICATION
DDR :

TECHNIQUE
Axiales T2 perpendiculaires au corps/col utérin,  sagittale T2, coronale T2, axiale T2 dans le plan des LUS
Axiale T1, T1 SPIR
Diffusion, Dynamique T1 THRIVE avant et après injection de Gadolinium puis THRIVE tardive axiale/ coronale
Opacification vaginale et rectale par du gel

RÉSULTATS
Utérus, médian, antéversé / rétroversé, antéfléchi / rétrofléchi, de taille normale (… mm; ht x transv x antpost).
Myomètre sans particularité.
Aspect normal de la zone de transition.
Ligne cavitaire bien vue, fine et régulière.
Endomètre mesurant … mm

Ovaire G … mm; follicules simples sans masse.
Ovaire D … mm; follicules simples sans masse.
Absence d hydrosalpinx.
Absence d’épanchement pelvien.
Pas d’argument pour une atteinte endométriosique profonde

CONCLUSION
IRM pelvienne normale.

 

IRM du pelvis féminin [Anatomie]

IRM du pelvis féminin [Technique]

[IRM] Prostate

IRM PROSTATIQUE DE DETECTION MULTI-PARAMETRIQUE

INDICATION
Bilan de détection.
Taux de PSA :  ng/ml
Biopsies :
TR :

TECHNIQUE
Séquence T2 TSE axiale/sagittale/coronale centrées sur la prostate.
Séquence T2 pelvienne axiale.
Séquence de diffusion (b50,b800,b1200) centrées sur la prostate.
Séquence de perfusion après injection de 10 cc de Chélate de gadolinium.

RÉSULTATS
Volume prostatique estimé à  cc
 -Cible(s) intra-prostatiques(s) identifiée(s):

-> Lésion cible n°  : de … mm, localisée dans la  zone de transition/zone périphérique au segment …

 Paramètre Score ESUR 2011  Remarque
T2
Diffusion
Perfusion
Total

=> PIRADS   :
I  (3-4) : très probablement bénin
II (5-6) : probablement bénin
III (7-9) : indeterminée
IV (10-12) : probablement malin
V (13 – 15) : très probablement malin

Signes IRM de franchissement capsulaire :
Vésicules séminales de morphologie et de signal normal
Adénomégalies pelviennes :

CONCLUSION
Lésion 

Prostate [IRM]

Prostate PI-RADS

 

 

[IRM] Reins

IRM RÉNALE

INDICATIONS
Caractérisation d’une lésion rénale

TECHNIQUE
Séquences axiale T1 in /out phase, axial T2, axial diffusion avec cartographie d’ADC, axial T1 avec saturation de la graisse avant et après injection au temps artériel, portal, tardif puis coronal T1 tardif.

RÉSULTATS
Les reins sont en position habituelle de taille normal (droite   mm, gauche   mm), sans dilatation des cavités pyélocalicielle.

Le rein (droit ou gauche) est le siège d’une lésion de … mm (grand axe), siège (polaire supérieur, médiorénal, polaire inférieur, lèvre antérieur ou postérieur), de développement endo ou exorénal. Elle est en …signal T1, …signal T2, diffusion avec un ADC … avec un rehaussement   après injection.
Pas d’anomalie de la graisse péri-rénal.
Pas de ganglions du hile rénal.

Autres : surrénales, foie sans anomalies, pas d’épanchement libre.

CONCLUSION
Lésion

 

TNM – Rein

Kyste rénal

 

[IRM] Entéro IRM Crohn

ENTERO-IRM

INDICATION
Antécédents chirurgicaux (type de résection) :

TECHNIQUE
T2, diffusion, T1 après injection de gadolinium

RESULTATS
Qualité de la distension du grêle : mauvaise / moyenne / bonne

Anomalies pariétales
Épaississement pariétal :
Siège :
Longueur de l’atteinte :
Hypersignal en diffusion :
Prise de contraste pariétale :
Sténoses :
Dilatation pré-sténotique :
Ulcérations profondes :

Anomalies extra-pariétales
Fistules :
Masse inflammatoire :
Abcès :
Hypervascularisation du mésentère) :
Sclérolipomatose :
Ganglions :

Autres atteintes
Atteinte du cadre colique (y compris l’appendice) :
Atteinte à distance d’autres anses grêles :

CONCLUSION
Pas d’anomalie décelée

 

Tube digestif – MICI

[IRM] Entéro IRM

ENTERO-IRM

INDICATION
Bilan

TECHNIQUE
T2, diffusion, T1 après injection de gadolinium.

RESULTATS
Qualité de la distension du grêle : mauvaise / moyenne / bonne

Absence d’épaississement pariétal.
Pas de prise de contraste anormale du grêle ou du colon.
Pas d’anomalie du péristaltisme.
Absence d’anomalie extra-pariétale.

CONCLUSION
Entéro IRM normale.

 

Tube digestif – MICI

 

[IRM] Entéro MICI

ENTERO-IRM

INDICATION
Suivi d’une maladie de Crohn iléale traitée par

TECHNIQUE
Séquences axiale et frontale B FFE, diffusion, frontale T2 single shot SPAIR, axiale T1, frontale T1, après injection dynamique de gadolinium, axiale à 2 mn, puis frontale à 5 mn.

RÉSULTATS
Qualité de la distension du grêle : mauvaise / moyenne / bonne

Comparaison avec l’entéro-IRM effectuée en …

Anomalies pariétales

Description rétrograde à partir de la valvule iléo-caecale :
– 1ère sténose de  …  mm d’épaisseur, étendue sur … cm de longueur, avec signes d’activité probable (épaisseur de … mm ; hypersignal pariétal T2, prise de contraste muqueuse et signe du peigne).
Dilatation pré sténotique (lumière de … mm de calibre) sur … cm de longueur.

– 2ème sténose de  …  mm d’épaisseur, étendue sur … cm de longueur, avec signes d’activité probable (épaisseur de … mm ; hypersignal pariétal T2, prise de contraste muqueuse et signe du peigne).
Dilatation pré sténotique (lumière de … mm de calibre) sur … cm de longueur.

Absence d’ulcération transmurale évidente

Anomalies extra-pariétales
Absence de fistule, de collection.
Plusieurs petits ganglions mésentériques péri-vasculaires, le plus volumineux mesurant … mm et se rehaussant

Fistules :
Masse inflammatoire :
Abcès :
Hypervascularisation du mésentère :
Sclérolipomatose :
Ganglions :

Autres atteintes
Atteinte du cadre colique  :
Atteinte à distance d’autres anses grêles :

CONLUSION
Examen globalement stable.
Sténoses avec persistance de signe d’activité. Absence de complication extradigestive.

 

 

Tube digestif – MICI

 

[IRM] Aorte

IRM AORTIQUE

INDICATION
Bilan

TECHNIQUE

RESULTATS
Orifice aortique :
Sigmoïdes :
Jonction sino-tubulaire :
Aorte ascendante :
Crosse aortique (au pied de l’artère sous clavière gauche) :
Aorte descendante :

Valve aortique bicuspide / tricuspide
Régurgitation oui / non / importance>]
Coarctation oui / non

CONCLUSION
Absence d’anomalie significative décelée.

 


 

 

Fiches connexes

Anévrisme de l’aorte abdominale

Dissection aortique

 

 

 

[IRM] Foie

IRM HEPATIQUE

INDICATION
Bilan

TECHNIQUE
Séquences axiales T1 en phase et hors phase, T2 Spair, T2 single shot (HASTE), axiale diffusion, T1 fatsat  avant et après injection dynamique de gadolinium (dont tardif à 5mn).

RESULTATS
Foie de taille normale, de contours réguliers, non dysmorphique.
Absence de lésion nodulaire hépatique.
Voies biliaires fines.
Pas d’anomalie de la vésicule.
Absence d’adénomégalie du hile hépatique.
Rate de taille normale.
Pas d’anomalie du pancréas et des reins sur les coupes réalisées.
Absence d’épanchement liquidien.

CONCLUSION
Absence de lésion nodulaire hépatique

 


 

 

Fiches connexes

Tumeurs hépatiques [algorithme]

Main rhumatismale

Interprétation d’une main rhumatismale

  • Interlignes articulaires (carpiens, MCP, IPP, IPD) :
    • Pincement ?
      • Localisé ?
      • Diffus ?
    • Ankylose ?
  • Os :
    • Érosions ? (= lyse de dehors en dedans)
      • Sous chondrale ? marginale ?
    • Ostéolyse ?
    • Géodes ? (peu spécifiques sauf dans l’arthropathie du dialysé, cf tableau)
    • Constructions ?
      • Appositions périostées ?
      • Ostéophytose ?
    • Trame ?
      • Déminéralisation ? Condensation ?
    • Parties molles :
      • Infiltrations ?
      • Calcifications ?
      • Nodules ?

 

CCA

  • Interligne : +/-
  • Topographie : Carpe +++, MCP
  • Destructions : +++
  • Constructions : ++
  • Géodes : +++, vérosionolumineuses, précèdent l’érosion
  • Trame osseuse : Sclérose sous-chondrale
  • Parties molles : Calcifications des cartilages
  • Déformations

 

Goutte

  • Interligne : + (longtemps préservé)
  • Topographie : IPP IPD
  • Destructions : Érosions périarticulaires de grande taille, expansves, spiculées
  • Constructions : Constructions en regard des érosions, périostose
  • Géodes
  • Trame osseuse : Ostéocondensation en regard des érosions
  • Parties molles : Dépôts tophacés en regard des lésions osseuses
  • Déformations : –

 

 

Rhumatisme psoriasique

  • Interligne :Pincement ++ , parfois pseudo-élargissement
  • Topographie : IPP/IPD
  • Destructions : ++ érosions marginales et centrales de l’interligne
  • Constructions : +++ Périostose / constructions périarticulaires (aspect pseudoélargi des bases phalangiennes)
  • Géodes : +
  • Trame osseuse : Ostéocondensation
  • Parties molles : –
  • Déformations

 

Polyarthrite Rhumatoïde

  • Interligne :Pincement ++ diffus
  • Topographie : Carpe / MCP / IPP
  • Destructions : ++, érosions sur les faces d’insertion synoviale
  • Constructions :  –
  • Géodes : +/-
  • Trame osseuse : Déminéralisation épiphysaire
  • Parties molles : –
  • Déformations : +++ coup de vent cubital

 

Arthrose destructrice

  • Interligne : Pincement  +++ localisé
  • Topographie : MCP/IPP/IPD 
  • Destructions :  +/- (arthrose destructrice rapide)
  • Constructions : Ostéophytes
  • Géodes : Sous chondrales
  • Trame osseuse : Ostéocondensation sous-chondrale
  • Parties molles : –
  • Déformations : +/- (clinodactylie)

 

Arthropathie du dialysé (amylose à b2microglobuline)

  • Interligne : Pincement peu marqué
  • Topographie : Carpe +++, MCP, IPP IPD (4e et 5e rayons)
  • Destructions : Lyse périarticulaire
  • Constructions : –
  • Géodes : +++, volumineuses, multiples, expansives
  • Trame osseuse : Normale
  • Parties molles : –
  • Déformations : –

 

Jaccoud (lupus)

  • Interligne : Normal
  • Topographie
  • Destructions : –
  • Constructions : –
  • Géodes : –
  • Trame osseuse : Normale
  • Parties molles : –
  • Déformations : Déformation en pseudo coup de vent cubital réductible +++

 

Maladie de Still

  • Interligne : Pincement diffus, ankylose
  • Topographie : Carpe +++
  • Destructions : –
  • Constructions : –
  • Géodes : –
  • Trame osseuse : Déminéralisation
  • Parties molles : –
  • Déformations : –

 

Hémochromatose

  • Interligne :Pincement global ou latéralisé
  • Topographie :  MCP des 2e et 3e rayons
  • Destructions : –
  • Constructions :  ++ en crochet large sur le versant radial de la tête métacarpienne
  • Géodes : Sous-chondrales
  • Trame osseuse :  Ostéocondensation
  • Parties molles : –
  • Déformations : Parfois dijonction scapholunaire
 

 

 

Sclérodermie

  • Interligne : Pincement ++
  • Topographie : MCP IPP IPD
  • Destructions :  Acro-ostéolyse
  • Constructions : –
  • Géodes : –
  • Trame osseuse : Normale
  • Parties molles : Calcifications amorphes
  • Déformations

 

Sarcoïdose

  • Interligne : +
  • Topographie :  IPP IPD
  • Destructions :  Acro-ostéolyse, ostéolysecortiocpériostée , pseudokystes
  • Constructions : –
  • Géodes
  • Trame osseuse : Réticulations en nid d’abeille de l’os trabéculaire
  • Parties molles : –
  • Déformations : –

 

Poignet – Radiographies

[Rx] Mains

 

Traumatisme cranien

PROTOCOLE D’EXPLORATION D’un Traumatisme cranien

  • En urgence : scanner sans injection de produit de contraste iodé avec reconstructions en filtre osseux
    • Ne pas hésiter à prendre tout le massif facial et le rachis cervical
  • A distance : IRM encéphalique
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Pensez à chercher les lésions de contre-coup

 

HÉMATOME EXTRA DURAL

  • Urgence
  • Perte de connaissance
  • Intervalle libre, aggravation secondaire
  • Lésion de l’artère méningée moyenne (impact direct)
  • Association à une fracture de la voûte
  • Collection extra axiale hyperdense
  • Lentille biconvexe limitée par les sutures (forme de citron)

 

HÉMATOME SOUS DURAL

  • Forme de banane

 

SÉMIOLOGIe du traumatisme cranien en IRM

  • Lésions primaires
    • Accélération / desceleration angulaire / forces de cisaillement et étirement
    • –>lésions axonales diffuses
    • T2* : pétéchies hémorragiques (Adams, histopathology 1989)
  • Lésions secondaires
    • Altérations de le BHE
    • Œdème vasogénique ET cytotoxique → HTIC → ischémie → HTIC

 

Genou – Ménisques [IRM]

PROTOCOLE D’EXPLORATION du genou et des ménisques

IRM

  • Sag T1
  • 3 plans DP Fat Sat

LÉSIONS MÉNISCALES – CLASSIFICATION DE STOLLER

Grade 1 : Hypersignal ponctiforme ou nodulaire non communicant men1
Grade 2 : hypersignal linéaire intraméniscal men2
Grade 3 = fissure méniscale : hypersignal linéaire ou complexe touchant au moins une face méniscale men3

 

 

lÉSIONS MÉNISCALES – CLASSIFICATION DE TRILLAT

  • I : fente verticale postérieure
  • II : fente étendue vers l’avant formant une bandelette en anse de seau qui en se fixant créé des épisodes de blocage
  • III : luxation permanente de l’anse de seau
  • Orientation
    • Fissure horizontale : stable
    • Fissure radiaire
    • Fissure verticale / longitudinale : possiblement instable
  • Siège
    • Périphérie (zone rouge)
    • Centrale / bord libre (zone blanche)
  • Stabilité
    • Fragment déplacé /luxé
    • Fissure verticale complète étendue
    • Bec de perroquet
    • Fissure horizontale + radiaire
  • Position
    • Déplacement > 3 mm ligne tangeante condyle fémoral / plateau tibial = débord méniscal
    • Déplacement complet = expulsion méniscale
  • LCA
    • Faisceau antéro médial
    • Faisceau postéro latéral
    • Rupture :
      • Discontinuité partielle ou totale
      • Horizontalisation du fragment distal dans le plan sag
      • Signe de l’échancrure vide
      • Disparition complète du LCA
      • Contusions / impactions osseuses
      • Subluxation antérieure du plateau tibial latéral > 7 mm

 

LIENS

 

Hystérographie

PROTOCOLE D’EXPLORATION par hystérographie

  • Indication : bilan d’infertilité
  • Technique :
    • Entre 6ème et 12ème jour du cycle
    • Antibiothérapie systématique (Zithromax 5cp en 1 prise)
    • +/- anti spasmodique
  • C/I :
    • Infection génitale
    • Hydro / pyosalpinx
    • Grossesse débutante
  • Procédure
    • Cliché de face sans
    • Clichés de face en demi réplétion / réplétion / traction sur col et inclinaison du tube
    • Incidence oblique pour dérouler les trompes
    • Profil de l’utérus : faces et défilé cervico isthmique
    • Clichés en évacuation
    • Cliché tardif (5 min)
  • Brassage péritonéal
  • Possiblement passage vasculaire / veineux
  • Non patho :
    • Striction annulaire à l’origine des trompes
  • Si obstruction tubaire
    • Salpingographie sélective possible

 

 CAUSES TUBAIRES D’INFERTILITÉ

  • Obstruction tubaire interstitielle
    • Spasme tubaire
    • Polypes endométriaux de la jonction : pli inflammatoire de la muqueuse utérine
  • Lésions tubaires isthmiques
    • Endométriose
      • Images d’addition, bilatérales, en boule de gui (adénomyose de la corne utérine)
    • Tuberculose
      • Aspect en fil de fer, diverticules isthmiques, synéchies, hydrosalpinx
    • Lésions inflammatoires
  • Obstruction tubaire distale
    • Hydrosalpinx : séquelle d’infection tubaire
      • Dilatation kystique / ampulaire de la trompe, effacement des plis, aspect sacculaire, avec disparition du relief muqueux, pas de passage péritonéal
      • ATDC de salpingite ou endométriose
      • Souvent bilat
    • Phimosis tubaire
    • Adhérences péri-tubaires (aspect fixé des trompes)

 

CAUSES UTÉRINES D’INFERTILITÉ

  • Fibromes sous muqueux (image lacunaire, contours flous, remplissage progressif)
  • Polype muqueux
  • Synéchies (secondaires à un traumatisme utérin)
  • Utérus hypoplasique
  • Utérus DES distilbène
    • Aspect en T
    • Sténose des cornes utérines
  • Malformations utéro-vaginales
    • Utérus bicorne
    • Utérus cloisonné
  • Adénomyose
    • Kyste dans la zone sous endométriale
    • Signes directs images diverticulaires du fond utérin
    • Signes indirects aspect relevé́ des cornes utérines aspect en baïonnette de l’isthme

 

 

[IRM] SEP

IRM ENCÉPHALIQUE

CONTEXTE
Surveillance de sclérose en plaque

TECHNIQUE
– Séquences avant injection de produit de contraste gadoliné : 3DFLAIR, axiale T2, axiale diffusion, axiale T1
– Séquences après injection de produit de contraste gadoliné : axiale T1

RÉSULTATS
Examen recalé et comparé à celui réalisé le ,

Multiples lésions en hypersignal FLAIR périventriculaires, ovalaires, perpendiculaires au plan des ventricules, atteignant le corps calleux.
Présence de lésions infra tentorielles.
Présence de black hole.
Absence de prise de contraste lésionnelle visible.
Trophicité cérébrale conservée.

Structures médianes en place.
Pas d’hypersignal de diffusion du parenchyme cérébral.

CONCLUSION
Stabilité de la charge lésionnelle.
Pas de lésion active se rehaussant décelée

Iconographie mise à disposition sous forme de planche papier et conservée localement sur le PACS.


 

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Anatomie – Larynx

 

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TNM – Larynx

 

[IRM] Hypophyse

IRM HYPOPHYSAIRE

CONTEXTE
Bilan

TECHNIQUE
IRM   Tesla
– Séquences avant injection de produit de contraste : coronales T1, T2, sagittale T1 sur la région hypophysaire
– Séquences après injection de produit de contraste : coronale T1 (dynamiques et tardives)

RÉSULTATS
Antéhypophyse de taille et de morphologie normales, de signal homogène
Pas d’anomalie focale après injection de gadolinium
Post-hypophyse en hypersignal spontané T1, d’aspect normal
Respect du diaphragme et du plancher sellaire
Pas d’anomalie des loges caverneuses
Intégrité des citernes supra-sellaires et opto-chiasmatiques
Bonne aération du sinus sphénoïdal
Chiasma optique d’aspect normal

CONCLUSION
IRM hypophysaire normale

 

Fiches connexes

Hypophyse

Kyste de l’ovaire

Type 1 – Kyste liquidien pur

  • Anéchogène
  • Parois fines
  • 3 à 10 cm voire plus. En dessous c’est un follicule
  • S’assurer qu’il est liquidien pur
  • Pas de vascularisation au doppler
  • Très souvent kyste folliculaireT1
  • Parfois,
    • Cystadénome séreux uniloculaire sans végétation
    • Cystadénome mucineux uniloculaire
  • DD
    • Hydrosalpinx ancien
    • Kyste paratubaire (pas de cône de parenchyme ovarien associé !)
    • Pseudo-kyste péritonéal (triangulaire)
  • CAT
    • > 3 cm & < 6 cm : surveillance à 3 cycles
    • > 6 cm : chir
    • > 3 cm & ménopausée : chir

 

Syndrome des ovaires polykystiques

  • 2 parmi les 3 critères suivants :
    • Troubles du cycle menstruel : aménorrhée ou spanioménorrhée (moins de 8 cycles par an)
    • Hyper androgénie clinique (hirsutisme, acné, alopécie) et/ou biologique (↑ testostérone)
    • Échographie ≥ 24 follicules de 2-9 mm de diamètre
  • Autre définition
    • Surface de l’ovaire : > 5,5 cm²
    • Volume de l’ovaire : > 7 cm3
    • ≥ 12 foll. de 2 à 9 mm
    • Hypertrophie du stroma
    • Hyperéchogène

 

Type 2 – Kyste multiloculaire

  • Parois fines
  • Cloisons fines
  • Pas de nodule solide
  • Pas de végétation sur les parois
  • Parfois des échos dans le contenu
  • Doppler : flux dans les parois
  • DD
    • Cystadénome mucineuxT2
    • Cystadénome séreux multiloculaire
    • Kyste lutéal hémorragique avec des cloisons de fibrine, aspect en filet de pêche
    • Kyste lutéal
    • Paroi hypervascularisée (type basse résistance)
    • Contenu mixte AVASCULAIRE
    • Caillots + cloisons de fibrine + sang lysé
    • Grande variabilité dans le temps
    • CAT
    • Mucineux et séreux : chir
    • Kyste lutéal hémorragique : contrôle à 2-3 mois à J6-J10

 

Type 3 – Kyste endométriosique (endométriome)

Échographiet3
  • Aspect évolue dans le temps
  • Début : nodule à contenu finement échogène, fin piqueté, paroi fine, renforcement postérieur, pas de codage doppler
  • Ensuite : contours anguleux, kystes attirés et
    déformés, paroi devient mesurable
  • Possible dépôts cruoriques en hyper-écho, déclives dans le kyste, sédimentant (pathognomonique d’endométriome)
  • Aspect festonné des parois, micronodules hyperéchogènesEndométriome
  • Organe voisins / ovaire, immobiles, fixés,
    « kissing ovaries» (les ovaires se rapprochent)
  • Signes négatifs : pas de cloison, végétation ou nodule. Pas de flux doppler
  • Compter les follicules adjacents
  • Aller chercher de l’endométriose à distance
IRM
  • Endométriome typique
    • Hyper T1 ≥ à celui de la graisse
    • Persistant sur les séquences FSEndométriome
    • Hypo signal T2 « shading »
  • Niveaux
  • Caillots intra kystiques (NON vascularisés)
  • Paroi épaisse fibreuse
  • Forme non arrondie par adhérence
  • Décidualisation
  • DD
    • Kyste hémorragique du corps jaune, mais évolution d’aspect en maille et
    • Kyste dermoïde à composante sébacée importante, rechercher Ca++ et phanères
    • kyste de Tarlov…
    • Méningocèle
    • Cystadénome séreux ou mucineux

 

 Type 4 – Kyste contenant des végétations

  • Végétations
  • Bénin vs borderline
  • Codage Doppler
  • Signe du croissant :
    • Parenchyme ovarien normal avec ses follicules (élimine souvent une tumeur primitive qui atteint l’ensemble du parenchyme ovarien)
  • Étiologie
    • Cystadénome séreux uniloculaire avec végétationst4
    • Cystadénome séreux uniloculaire Border Line (avec végétations)
    • Cystadénocarcinome séreux
  • DD
    • Caillot (pas de flux en doppler énergie)
  • CAT
    • Borderline : annexectomie (et souvent bilatérale…)
    • Chir

 

Type 5 – le kyste à parois / cloisons épaisses ou nodule solide

  • Épaississement pariétal très vascularisé
  • Nodule
  • Contenu hétérogène
  • Très vascularisé en Doppler
  • Jamais bénint5
  • Souvent séreux borderline, adénocarcinome endométrioïde
  • DD
    • Kyste lutéal hémorragique (pas de codage Doppler)
    • Kyste dermoïde = tératome matures kystique
      • Kyste
      • Nodule de Rokitansky
      • Cheveux (stries linéaires)

 

Type 6 – Tumeur ovarienne solide pure

  • Syndrome de masse
  • Mobile ou pas ? (utilité de la palpation abdominale per opératoire)
  • Doppler intra-tumoral
  • Compléter par une IRM
  • Étiologie
    • Tératome mature kystique (dermoïde)t6
    • Fibrome
    • Tumeur de la granulosa
    • Cancer primitif de l’ovaire
    • Métastase ovarienne
  • DD
    • Myome sous séreux pédiculé
  • CAT
    • Chir
Score O-RADS-IRM
Le score O-RADS-IRM classe en 5 catégories de risque de malignité les masses annexielles considérées complexes ou indéterminées en échographie.
Le score O-RADS IRM 1 correspond à l’absence de lésion annexielle (disparition de la lésion en IRM ou présence d’une lésion non annexielle).
Le score O-RADS IRM 2 correspond à des lésions bénignes avec un faible risque de malignité (VPP < 2%). Il s’agit soit de lésion liquidienne pure (cystadénome séreux bénin, kyste folliculaire), graisseuse majoritaire (tératome mature) ou endométriosique (endométriome) (Figure 1) ou bien de lésion avec une portion tissulaire en hyposignal T2 et hyposignal diffusion. Pour rappel, une portion tissulaire est définie en IRM comme des cloisons irrégulières, un nodule mural, des végétations ou une masse solide (>80% de portion tissulaire) se rehaussant après injection de gadolinium. Ces lésions O-RADS IRM 2 ne nécessitent pas de suivi particulier.
Le score O-RADS IRM 3 correspond à des lésions probablement bénignes (VPP<5%). Il s’agit soit de lésions liquidiennes dont le contenu n’est pas strictement liquidien pur, graisseux majoritaire ou endométriosique, soit de lésions liquidiennes multiloculaires ou bien de lésions avec une portion tissulaire se rehaussant selon une courbe de type 1 (rehaussement initial moins important que le myomètre avec une augmentation progressive et faible sans plateau) (Figure 2). Les lésions O-RADS 3 nécessitent une surveillance rapprochée par échographie ou IRM afin de vérifier la stabilité de la taille sur 2 ans. 
Le score O-RADS IRM 4 correspond à des lésions indéterminées en IRM (VPP de 5 à 95 %).  Il s’agit de masses avec portion tissulaire et une courbe de rehaussement de type 2 (rehaussement initial non pré décalé par rapport au  myomètre avec une augmentation progressive et modérée avec plateau). Pour le score O-RADS IRM 4, il est primordial de donner des orientations anatomopathologiques car il peut s’agir de lésions bénignes, malignes ou borderline débouchant sur une prise en charge différente. Ces lésions O-RADS IRM 4 nécessitent une prise en charge chirurgicale dans un centre de référence.
Le score O-RADS IRM 5 correspond à des lésions de risque de malignité très élevé (VPP >95%). Le score 5 est lié soit à la présence d’implants péritonéaux soit à la présence d’une portion tissulaire avec une courbe de type 3 (rehaussement initial pré décalé par rapport au  myomètre avec augmentation importante et plateau) (Figure 3). Ces lésions nécessitent de réaliser un bilan d’extension par un TDM thoraco abdomino pelvienne et une prise en charge chirurgicale dans un centre de référence avec indication théorique de cyto-réduction d’emblée.

Tumeurs pelvis – Cancer du col utérin

Cancer du col utérin

  • Anatomie
    • Endocol : épithélium glandulaire
    • Exocol : épithélium malpighien
  • Histopathologie
    • Carcinomes épidermoïdes
  • Épidémiologie
    • Pic à 40 ans
    • Facteurs de risque : infection HPV, tabagisme, infection VIH
  • IRM
    • Indication
      • Bilan initial des tumeurs > FIGO I
      • Evaluation post-thérapeutique
      • Suspicion de récidive
      • Suspicion de complication thérapeutique (fistule, hydronéphrose, adhérences)
    • Protocole
      • Vessie semi-remplie +/- opacification vaginale et rectale
      • Axiales T2 TSE jusqu’aux veines rénales
      • Sagittales T2 TSE
      • Axiales obliques T2 TSE coupes fines perpendiculaire à l’axe du col
      • 3D T1 EG dynamiques gadolinium (si non visible en T2 ou post-thérapeutique ou fistule ou extension rectale/ vésicale)
      • Axiales Diffusion
    • Signal
      • Hypersignal T2 par rapport au stroma cervical
      • Prise de contraste précoce puis isosignal puis lavage
      • Hypersignal diffusion et restriction de l’ADC
    • Préciser
      • Taille +/- 4 cm
      • Stade FIGO
      • Extension en hauteur par rapport à l’isthme, rétention
      • Extension aux paramètres (proximal – distal) (IIB / IIIB): perte du liseré en hyposignal du stroma, tumeur bombant dans les paramètres, interface irrégulière tumeur/paramètre
      • Extension au vagin : 2/3 sup (IIA) – 1/3 inf (IIIA)
      • Extension à la vessie, au rectum (IV)
      • Extension ganglionnaireIRM
      • Variante anatomique veineuse (veine rénale gauche retro-aortique)
  • TEP-TDM 18FDG : bilan d’extension ganglionnaire
    • Si négatif : curage
  • Récidive (30%) centrale ou latérale
    • IRM à 6-12 semaines après fin de la curithérapie
      • Axiales T2 TSE jusqu’aux veines rénales
      • Sagittales T2 TSE
      • Axiales obliques T2 TSE coupes fines perpendiculaire à l’axe du col
      • 3D T1 EG dynamiques gadolinium
      • Diffusion
    • Bonne réponse
      • Disparition de la lésion
      • Restitution de l’hyposignal normal du col et de l’anatomie zonale
      • Atrophie utérine
      • Pas de prise de contraste ou rehaussement retardé du col
      • ADC élevé
    • Suspicion de reliquat
      • Masse en hypersignal T2
      • Absence de restitution de l’hyposignal du col
      • Prise de contraste précoce hétérogène, homogène au temps tardifs
      • Hypersignal diffusion et ADC bas
    • Suspicion de récidive
      • Douleur, hydronéphrose, TV suspect
      • IRM
        • Masse en hypersignal T2
        • Prise de contraste hétérogène
        • Dilatation urétérale
        • Fistule
        • Adénopathies
      • Si IRM négative : TEP

 

Compte rendu normalisé de la SFR

Endométriose pelvienne

Endométriose pelvienne

échographie

  • Endométriose pariétale
    • Nodule hypo-échogène
    • Mal limité
    • Cerné par une réaction inflammatoire
    • Contient de petites cavités
    • Contient des petits points hyperéchogènes (pigments d’hémosidérine)

      Endométriose

      Case courtesy of Dr Frank Gaillard, Radiopaedia.org. From the case rID: 9395

    • Endométriose péritonéale superficielle
    • Cœlioscopie +++
    • Signes directs
      • Nodules si > 10 mm
      • Lésions fibreuses planes
    • Signes indirects
      • Anomalie de position des OGE : « kissing ovaries » (les ovaires se rapprochent)
      • Accolements et adhérences (aspect en « bec d’oiseau » du sigmoïde, correspondant à une petite languette de fixation)
      • Modification des contours des parois digestives
      • Endométriose sous péritonéale profonde
    • Espace sous péritonéal antérieur
      • Cul de sac ant et vessie
    • Espace péritonéal post à partir du Douglas
      • Espace recto vaginal
      • Ligaments utéro sacrés
      • Tube digestif

IRM

  • Protocole
    • Jeûne relatif / Vessie en semi réplétion / Contention (antenne) / Bandes de pré saturation / Antipéristaltiques systématiques ++++ (Glucagen SC/IM/IV / Spasfon IV/PO / +/- Préparation digestive / Opacification vaginale et digestive
  • Séquences nécessaires (souvent suffisantes) endométriose
    • Sag T2 / Ax T2
    • Sag T1 / Sag T1 FS
    • Ax T2 plan des ligaments US
  • Séquences optionnelles
    • Coro T2
    • Sag T1 FS + gado
    • AX T1 FS
    • Coro truffi sur les reins

Lésions élémentaires

  • Lésions hémorragiques (glandes endométriales)Endométriome
    • Endométriome (Cf.)
    • Inclusion endométriosique
    • Spots hémorragiques
      • Hyper T1 / Hyper T1 FS / Shading T2 / Présence possible de niveaux
      • DD HT1 : tératome, remaniements hémorragiques
    • Fibrose +/- inflammation (stroma péri glandulaire)
      • Ligament US / Torus
      • Infiltration tissulaire digestive et vésicale
      • Cul de sac de Douglas
      • Superficielle
      • Trajets de cicatrice
      • Hypo T1 / Hypo T2 / +/- rehaussement

 

coelioscopie

 

Grossesse : échographie de datation

BHCG

  • > 1000 : embryon tjs visible par voie endovaginale
  • > 2500 : visible par voie sus pubienne
  • > 7000 : toujours visible. Et vésicule vitelline visible

Embryon

  • Embryon > 4 mm doit avoir activité cardiaque
  • Sac > 10 mm : vésicule doit être vue
  • Sac > 16mm : embryon doit être vu
  • Sac > 20mm sans embryon : œuf clair
  • Critères non évolutivité : embryon > 5 mm sans activité cardique, sac > 20 mm sans embryon, embryon non visible ou < 5 mm sans croissance sur 2 écho à 8j d’intervalle

Mesure de la longueur cranio caudal (LCC) avant 14 semaines d’aménorrhée ( SA)

/!\ Ces valeurs sont une estimation /!\
(Cf. SAlomon LJ. Comment déterminer la date de début de grossesse ? Recommandations pour la pratique clinique J Gynecol Obstet Biol Reprod, 2011.40:726-33)

LCC (mm) Age gestationnel
(Robinson)
6 6 SA + 1
7 6 SA + 3
8 6 SA + 5
9 6 SA + 6
10 7 SA + 0
11 7 SA + 1
12 7 SA + 3
13 7 SA + 4
14 7 SA + 5
15 7 SA + 6
16 8 SA + 0
17 8 SA + 1
18 8 SA + 2
19 8 SA + 3
20 8 SA + 4
21 8 SA + 5
22 8 SA + 5
23 8 SA + 6
24 9 SA + 0
25 9 SA + 1
26 9 SA + 2
27 9 SA + 3
28 9 SA + 3
29 9 SA + 4
30 9 SA + 5
31 9 SA + 6
32 9 SA + 6
33 10 SA + 0
34 10 SA + 1
35 10 SA + 1
36 10 SA + 2
37 10 SA + 3
38 10 SA + 3
39 10 SA + 4
40 10 SA + 5
41 10 SA + 5
42 10 SA + 6
43 10 SA + 7
44 11 SA + 0
45 11 SA + 1
46 11 SA + 1
47 11 SA + 2
48 11 SA + 3
49 11 SA + 3
50 11 SA + 4
51 11 SA + 4
52 11 SA + 5
53 11 SA + 5
54 11 SA + 6
55 11 SA + 6
56 12 SA + 0
57 12 SA + 1
58 12 SA + 1
59 12 SA + 2
60 12 SA + 2
61 12 SA + 3
62 12 SA + 3
63 12 SA + 4
64 12 SA + 4
65 12 SA + 5
66 12 SA + 5
67 12 SA + 6
68 12 SA + 6
69 13 SA + 0
70 13 SA + 0
71 13 SA + 1
72 13 SA + 1
73 13 SA + 2
74 13 SA + 2
75 13 SA + 2
76 13 SA + 3
77 13 SA + 3
78 13 SA + 4
79 13 SA + 4
80 13 SA + 5
81 13 SA + 5
82 13 SA + 6
83 13 SA + 6
84 14 SA + 0
85 14 SA + 0

RECIST

RECIST 1.0RECIST 1.1
Lésions cibles10 / patient
5 / organe
5 / patient
2 / organeTaille > 10 mm
Préciser n° image
Lésions non ciblesSoit mesurables mais non cibles
Soit évaluables mais non mesurables
Soit mesurables mais non cibles
Soit évaluables mais non mesurables
Lésions non évaluables et non mesurablesEpanchement, lymphangite , métastases osseuses rachidiennesEpanchement, lymphangite , métastases osseuses rachidiennes
GanglionsGrand axe ≥ 10 mmPetit axe ≥ 15 mm
Réponse complète
[par rapport à basebline]
SPGD = 0 mmSPGD = 0 mm (disparition)
Ganglions ≤ 10 mm
Réponse partielle
[par rapport à basebline]
↘SPGD ≥ 30 %
Diminution des lésions non cibles
Progression tumorale des lésions cibles
[par rapport au nadir]
↗SPGD ≥ 20 %↗SPGD ≥ 20 % &↗SPGD ≥ 5 mm
Augmentation des lésions non cibles
Stabilité tumorale
[par rapport à basebline]
↘SPGD < 30 %
ou↗SPGD < 20 %
Stabilité des lésions non cibles
SPGD : Somme des Plus Grands Diamètres

Hyperplasie de l’endomètre

Clinique de l’hyperplasie de l’endomètre

  • Métrorragies post-ménopausique
  • Métrorragie en péri-ménopause

 

 

Classification de l’hyperplasie de l’endomètre

  1. L’hyperplasie de l’endomètre simple (sans atypie)
  2. L’hyperplasie complexe (sans atypie)
  3. L’hyperplasie atypique simple
  4. L’hyperplasie complexe atypique

 

Echographie

  • Ménopause sans THS : 4 mm
    • Patho si > = 5 mm
  • Ménopause avec THS : 7 mm
    • Patho si > = 8 mm
  • Période d’activité génitale
    • Patho si > = 14 mm
  • Hyper vascularisation au Doppler

Pneumopathie infiltrante diffuse idiopathique

  IPF NSIP COP AIP RB-ILD DIP LIP
Rayon de miel +++          
Verre dépoli +++   + ++ + +++
Bronchectasies par traction + ++   +      
Epaississements bronchiques         +    
Opacités réticulées + ++         +
Gradient apico-basal ++ + + +   +  
Gradient baso-apical         ++    
Prédominence sous pleurale + + +   + +  
Opacités linéaires   + +        
Symétrique         +    
Micronodules flous     +   ++ + +
Emphysème centro-lobulaire       + +    
Condensations     +        
Distorsions parenchymateuses       +      
Kystes       +   + +

 

IPF [> 50%] (Idopathic Pulmonary Fibrosis = UIP – Usual Interstitial Pneumonia = PIC – Pneumopathie Interstitielle Commune) Case courtesy of Dr David Cuete, Radiopaedia.org. From the case rID: 27858 Case courtesy of Dr David Cuete, Radiopaedia.org. From the case rID: 27858
NSIP (Non Specific Interstitial Pneumonia = PINS – Pneumopathie Interstitielle Non Spécifique)

Case courtesy of Rogério Augusto Lima Guarneri, Radiopaedia.org. From the case rID: 31651

Case courtesy of Rogério Augusto Lima Guarneri, Radiopaedia.org. From the case rID: 31651

COP (Cryptogenic Organizing Pneumonia = PO – Pneumopathie Organisée, ancienne BOOP)

Case courtesy of Dr Mohammad Taghi Niknejad, Radiopaedia.org. From the case rID: 21347

Case courtesy of Dr Mohammad Taghi Niknejad, Radiopaedia.org. From the case rID: 21347

AIP (Acute interstitial pneumonitis, correspondant en histologie au DAD – Diffuse Alveolar Damage)
RB-ILD (Respiratory Bronchiolitis Interstitial Lung Disease)

Case courtesy of A.Prof Frank Gaillard, Radiopaedia.org. From the case rID: 6535

Case courtesy of A.Prof Frank Gaillard, Radiopaedia.org. From the case rID: 6535

DIP (Desquamative Interstitial Pneumonia)
LIP (Lymphoid Interstitial Pneumonia)

Voir aussi

Segmentation pulmonaire

 

segpulm

 

Segmentation bronchique

  • LARYNX
  • TRACHEE
  • CARENE
  • BRONCHE SOUCHE DROITE
    • Br lobaire supérieure
    • Br tronc intermédiaire
    • Br lobaire moyenne
    • Br lobaire inférieure
    • Br nelson / fowler
  • BRONCHE SOUCHE GAUCHE
    • Br culmen
    • Br lingula
    • Br lobaire inf
    • Br nelson / fowler

Segmentation pulmonaire

  • Poumon Droit
    • Lobe Supérieur Droit
      • apical
      • postérieur (dorsal)
      • antérieur (ventral)
    • Lobe Moyen
      • apical
      • médian
    • Lobe Inférieur Droit
      • supérieur (apical ;Nelson)
      • médiobasal (paracardiaque)
      • antérobasal (ventral)
      • latérobasal (externe)
      • postérieur (dorsal)
  • Poumon Gauche
    • Lobe Supérieur Gauche
      • apico-dorsal
      • antérieur (ventral)
      • supérieur (lingula)
      • inférieur
    • Lobe Inférieur Dauche
      • apical (Nelson)
      • antérobasal (ventral et paracardiaque)
      • latérobasal (externe)
      • postérieur (dorsal)

 

Lésions élémentaires – Nodules pulmonaires

Définitions

  • Micro nodules  : nodules < 6 mm. Plus ils sont nombreux, plus l’éventualité de granulomes ou de métastase devient élevée
  • Nodules : nodules entre 6 et 30 mm
  • Masses : nodules > 30 mm

 

Sémiologie

  • Limites
    • Nettes
    • Floues
  • Densité
    • Élevée (effaçant les interfaces avec les opacités vasculaires à leur contact)
    • Très faible (n’effaçant pas les interfaces)
  • Distribution
    • Direction verticale (supérieure, moyenne, inférieure)
    • Axiale (antérieure ou postérieure, corticale ou médullaire)
    • Distribution au sein du lobule pulmonaire secondaire (péri ou centrolobulaire)

 

DÉMARCHE DIAGNOSTIQUE

  • Présence de micronodules de topographie sous-pleurale et/ou scissurale ?
    • Si oui, alors distribution :
      • soit périlymphatique
      • soit hématogène
    • Si non, alors distribution centrolobulaire
      • Aspect d’arbre en bougeon ?
        • Si oui : atteinte bronchiolaire +/-bronchectasies, hétérogénéité du parenchyme pulmonaire réalisant un aspect en mosaïque.
  • Type d’atteinte
    • Diffuse = distribution aléatoire = hématomgène
    • Focalisée, notamment au niveau de l’interstitium axial.

 

Les syndromes micronodulaires

Présence de micronodules pulmonaires multiples.

Distribution centro-lobulaire

  • Pathologie alvéolo-bronchique (bronchiolite avec comblement alvéolo-bronchique a minima).
  • Sémiologie
    • micronodules ± denses, à contours flous, confluents
    • ± « branchés »
    • à distance de la plèvre et des scissures
  • Étiologie
    • Infectieuse +++ (ex : tuberculose pulmonaire)
    • inflammatoire (ex : pneumopathie d’hypersensibilité )
    •  tumorale (ex : carcinome bronchiolo-alvéolaire)
    • métastases endovasculaires pulmonaires (micronodules branchés) au cours de cancers avancés
Case courtesy of Dr Juan Jose Urquiza, Radiopaedia.org. From the case rID: 25554
Case courtesy of Dr Juan Jose Urquiza, Radiopaedia.org. From the case rID: 25554

Distribution lymphatique

  • Sémiologie
    • siège au niveau de la plèvre, des scissures et des espaces péri-broncho-vasculaires
    • association à des adénopathies, un épaississement global des espaces péri-broncho-vasculaires
    • lignes septales (de morphologie polygonale soulignant l’unité fondamentale du poumon entourée de plèvre (et donc de lymphatiques), le lobule secondaire de Miller).
  • Étiologie
    • Sarcoïdose, la bérylliose
    • Lymphangite carcinomateuse
    • Silicose
    • Maladies rares (ex : lymphangiectasies)

Case courtesy of Dr Mahomed A. Osman, Radiopaedia.org. From the case rID: 22081

Case courtesy of Dr Mahomed A. Osman, Radiopaedia.org. From the case rID: 22081

Distribution hématogène

  • Sémiologie
    • Miliaire
    • Distribution au hasard.
    • Prédominance basale
    • Feeding vessel sign
      • Nodule appendu à une opacité vasculaire (nodule angio-centré)
  • Étiologie
    • Infectieuse
      • Bactérienne (tuberculose)
      • fungique (candida, histoplasmose)
      • virale (CMV, herpès, varicelle)
    • Tumorale (métastases hématogènes de cancer digestif)
    • Si feeding vessel sign
      • Lymphangite carcinomateuse
      • Wegener
      • Emboles septiques
      • Infections angio-invasives (aspergillose, candidose, mucormycose, P. aeruginosa).
Case courtesy of Dr Prashant Mudgal, Radiopaedia.org. From the case rID: 41197

Case courtesy of Dr Prashant Mudgal, Radiopaedia.org. From the case rID: 41197

Case courtesy of Dr Ahmed Abd Rabou, Radiopaedia.org. From the case rID: 23250

Feeding vessel sign. Case courtesy of Dr Ahmed Abd Rabou, Radiopaedia.org. From the case rID: 23250

IRM du pelvis féminin [Technique]

Contre indications à l’IRM

 

Protocole

  • Jeûne de 3 heures
  • Vessie semi-réplétion
  • Contention abdominale par sangle élastique
  • +/- préparation digestive (Normacol®)
  • Antipéristaltiques (1 mL de Glucagen IV)
  • Opacification rectale et vaginale par gel aqueux

 

Séquences

  • Bandes de présaturation de graisse sous-cutanée antérieure et postérieure
  • T2, axial et sagittal +/- coronal, anatomique
    • FSE
    • Ax : abdomino-pelviennes (au moins jusqu’au hile rénal)
  • T1, axial, caractérisation des liquides
  • +/- T1 FatSat, axial, si besoin
    • Kyste dermoïde
    • Endométriome
  • Diffusion b1000
    • Absence d’hypersignal : forte VPN (bénignité)
  • +/- In & Out phase
  • Injection standard
    • T1
    • T1 FatSat
  • +/- Séquence dynamique cancéro
    • Bilan d’extension d’un cancer utérin
    • Permet d’étudier le rehaussement par rapport au myomètre / endomètre adjacent
    • Acquisition sagittale ou perpendiculaire à l’axe de la structure touchée
  • Séquence dynamique de masse annexielle suspecte
    • Doit passer par la portion charnue de la tumeur et par le corps utérin
    • Résolution temporelle élevée
    • Courbes de rehaussement
    • Type I : < 100% de rehaussement, bénin
    • Type II : +/- 200 % de rehaussement, borderline
    • Type III : 400 % de rehaussement, malin
  • Séquence d’angio-MR
    • Séquence vasculaire

Deux postes en neuroradiologie

Le CHU de Brest propose deux postes de Radiologues en NEURORADIOLOGIE, l’un plutôt dans le secteur diagnostique et l’autre plutôt dans le secteur interventionnel. L’équipement est de haut niveau avec 2 scanners (64 et 128 coupes), 2 IRM (1,5 et 3Teslas), une salle d’angiographie monoplan et une salle de neuroradiologie interventionnelle bi-plan. L’équipe de neuroradiologie est actuellement composée d’un PU-PH, d’un PH, d’un CCA (en préparation PU), de 3 internes en neuroradiologie diagnostique et d’un interne en formation de NRI. Excellente collaboration avec les services de Neurologie et de Neurochirurgie.

Activité dynamique de Recherche.
Le statut des postes proposés est soit Assistant Spécialiste permettent d’approfondir ses connaissances en neuroradiologie pendant deux années, soit Praticien Hospitalier avec possibilité de carrière au CHU. Brest, ville universitaire à la pointe de la Bretagne, est un port qui regarde une des plus belles rades du monde, avec un environnement très agréable que ce soit à « Brest même » ou dans les communes voisines de bord de mer ou en campagne proche. La région est « verte », soucieuse de la préservation du milieu naturel. Très riche tissu culturel et associatif.

Me contacter : Professeur Michel NONENT, service de Radiologie, CHU, Bd Tanguy Prigent, 29609 BREST cedex. Tel (DECT): 02 98 34 74 93 / mail: michel.nonent@chu-brest.fr

Tumeurs pelvis – Cancer de l’ovaire

Bilan d’extension du cancer de l’ovaire

Technique
  • Échographie
  • TDM
  • IRM
    • Si doute diagnostic, extension aux organes de voisinage pelviens
Dissémination
  • Stades FIGO
  • Par infiltration directe
    • Organes de voisinages
    • Utérus > recto-sigmoïde > grêle > vessie
  • Par voie péritonéale
  • Lymphatique : lombo-aortique, ilio-obturatrice, inguinale
  • Hématogène (tardive) : foie, poumons , cerveau
  • Espace sus-mésocolique
  • Ligament phrénico-colique
  • Espace sous-mésocolique : communication par la gouttière pariéto colique droite
  • 4 sites préférentiels de stagnation :
    • Cul de sac de Douglas
    • Mésentère du grêle
    • Mesocolon sigmoïde
    • Gouttière pariéto-colique droite
Traitements
  • Stades I à IIa
    • Hystérectomie
    • Annexectomie bilatérale
    • Curage
    • Stadification
    • +/- chimio adjuvante
  • Stades IIb à IV
    • Laparoscopie exploratrice
    • +/- chimio néo adj
    • Réduction tumorale maximale
    • Chimiothérapie adjuvante

Association Finistère Sud

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Accident ischémique constitué [ AVC ]

Protocole IRM d’exploration des AVC

 

Critères sémiologiques : signes précoces d’AVC au scanner

  • Trop belle artère sylvienne
  • Perte du ruban cortical
  • Effacement des sillons corticaux
  • Effacement du noyau lenticulaire
  • Dedifférenciation gris-blanc

 

CRITÈRES SÉMIOLOGIQUES : SIGNES PRÉCOCES D’AVC EN IRM

  • Hypersignal de diffusion systématisé à un territoire vasculaire
  • Restriction du coefficient apparent de diffusion (ADC)
  • Signes de ralentissement sur la séquence FLAIR
  • Hypersignal FLAIR
  • Hyposignal T2* correspondant au thrombus artériel

 

 

 

TERRITOIRES VASCULAIRES (SCHÉMATIQUE)

AVC - territoires vasculaires
Pour en savoir plus : fmritools (en anglais)

 

évolution temporelle du signal dans l’ischémie cérébrale

T1 FLAIR b0 b1000 ADC
< 6 heures Iso Iso Iso Hyper Diminué
[6 – 48] heures Iso Hyper Hyper Hyper Diminué
48 heures – 10 jours Hypo Hyper Hyper Hyper / Iso Variable
> 10 jours Hypo Hyper Hyper Hyper / Iso Augmenté

 

SYNDROME DE SUZAC

Microangiopathie cochléo-encéphalo-rétinienne

  • Hypersignal T2 et FLAIR du corps calleux
  • Petite taille
  • Bien délimités
  • De localisation centrale, non callosofuges
  • Pas d’atrophie calleuse
  • Prises de contraste rares
  • Diffusion restreinte
  • Orpha.net

 

 

 

CADASIL

  • Cerebral Autosomal Dominant Arteriopathy with Subcortical Infarcts and Leukoencephalopathy
  • Artériopathie cérébrale autosomique dominante avec infarctus sous-corticaux et leucoencéphalopathie
  • Démence vasculaire héréditaire
  • Atteinte de la substance blanche des lobes temporaux et des capsules externes en plus du reste de la SB déjà atteinte dans la leucoaraiose

 

 

 

Accident ischémique médullaire

  • Infarctus du territoire spinal antérieur
    • Myélopathie aiguë transverse
      • survenue rapide (<72h)
      • para- ou quadriparésie
      • troubles sphinctériens
      • niveau sensitif
      • dissociation sensitive sous-lésionnelle inconstante: déficit sensitif global dans 15/25 cas d’infarctus centraux
  • Infarctus du territoire périphérique
  • Association infarctus médullaire / infarctus vertébral
  • Artère spinale antérieure : 3 territoires :
    • cervical (C0-T3) : artères vertébrales
    • thoracique (T4-T9) : artères intercostales
    • thoraco-lombaire : art. d’Adamkiewicz
  • IRM
    • Normale 24-48 h, IRM de diffusion +++
    • Hypersignal intramédullaire : 2/3 ant. (Œil de chouette) ou 1/3 post à contours flous
    • Cône > cervical > thoracique
    • +/- PDC
    • +/- atteinte vertébrale et/ou musculaire ischémique

 

[IRM] AVC

 

Cathéters

Couleur Diamètre Débit max théorique
Cathéter jaune 24 G = 0.55 mm 0,4 cc/s
Cathéter bleu 22 G = 0.70 mm 0,6 cc/s
Cathéter rose 20 G = 0.90 mm 1 cc/s
Cathéter vert 18 G = 1.20-1.30 mm 1,6 cc/s
Cathéter gris 16 G = 1.60 mm 3,5 cc/s
Cathéter orange 14 G = 2.00-2.10 mm 5,5 cc/s

/!\ Les débits max théoriques peuvent varier d’un fabriquant à l’autre. Se référer aux indications données sur les emballages /!\

Cathéters

Foie – Segmentation hépatique

  • Foie droit : 5, 6, 7 et 8
  • Foie gauche : 2, 3 et 4
  • Lobe droit : 4, 5, 6, 7 et 8
  • Lobe gauche : 2 et 3

Foie sup

Foie inf

Foie 3D

  • Hépatomégalie : > 11 cm sur la ligne médioclaviculaire
  • Stéatose hépatique : densité hépatique inférieure de 5 UH densité splénique

 

Liens

Orbitopathie dysthyroïdienne aigue

Plan d’analyse d’une orbitopathie dysthyroïdienne aigue

1.EXOPHTALMIE BILATÉRALE (80% DES CAS)

  • Axile
  • Symétrique ou non
  • Grade variable
  • Luxation antérieure des glandes lacrymales
  • Étirement du nerf optique

2. HYPERTROPHIE DES MUSCLES OCULOMOTEURS

  • Muscles droits inf, médial, sup et releveur, oblique supérieur
  • Plus rarement oblique inférieur, droit latéral
  • Atteinte unique rare
  • Respect du tendon d’insertion antérieur, atteinte du corps du muscle : muscle en fuseau

3. MODIFICATION DE DENSITÉ DES MUSCLES OCULOMOTEURS

  • Infiltration avec dépôts de mucopolysacharides
  • Cellules inflammatoires
  • Graisse
  • Fibrose
  • Densité variable

4. HYPERTROPHIE DE LA GRAISSE ORBITAIRE

  • Graisse intra et extra-cônique graisse du coussinet du sourcil, parfois seule responsable de l’exophtalmie
  • Empreinte à la partie antérieure de la lame papyracée

5. SINUS ADJACENTS

  • Description indispensable dans le CR si une corticothérapie ou intervention chirurgicale sont envisagées

 

A rechercher dans une orbitopathie dysthyroïdienne aigue

Forme compliquée

  • Baisse visuelle
    • Étirement du II
    • Encombrement apical par muscles hypertrophiés
    • Compression directe du II
    • Ischémie artérielle (compression)
    • Ischémie gène au retour veineux
  • Diplopie ; atteinte asymétrique, fibrose
  • Inflammation : nécessite une corticothérapie en bolus

Forme atypique

  • Atteinte du DL
  • Atteinte très inflammatoire
  • Atteinte d’un seul muscle

Formes post thérapeutiques

  • Post opératoire fracture 1 paroi
  • Forme évoluée guérie EXOPHTALMIE = GRAISSE
  • Post opératoire fracture 3 parois

Forme compliquée è IRM

  • Coupes orbitaires fines (2 à 3 mm)
  • Axiales T2 (exophtalmie, muscles droit lat et med)
  • Coronales T1, T2 et T2 FATSAT
  • Injection inutile sauf si lésion du N optique (T1 Gd sup graisse)

EXOPHTALMIE, MORPHOLOGIE (IDEM TDM)

Analyse du signal des muscles

  • Graisse
    • Hypersignal T1
    • Hypersignal T2
    • Hyposignal T2 FATSAT
  • Inflammation
    • Iso ou discret hyposignal T1
    • Hypersignal T2
    • Hypersignal T2 sup graisse
  • Fibrose
    • Hyposignal T1
    • Hyposignal T2 intense
    • Sup graisse inutile

Analyse du nerf optique

  • Souffrance majorée si facteur de risque de neuropathie optique (alcool, tabac)
  • HS T2, PC
  • Atrophie optique

Rein [échographie]

Morphologie normale du rein

  • Le parenchyme rénal est moins échogène que le foie et la rate
  • La largeur normale du parenchyme rénal varie de 1,3 cm à 2,5 cm
  • La rapport parenchyme / bassinet varie de 1,6 / 1 ((adulte jeune) à 1 / 1 (adulte agé)
  • Dimensions  normales :
    • Longueur : 9-11 cm
    • Largeur : 4-7 cm
    • Épaisseur : 3-5 cm
Kidney_ultrasound_110315132820_1329070

Hydronéphrose

Stadification de l’hydronéphrose

  • Grade I : dilatation du bassinet sans dilatation calicielle et épaisseur parenchymateuse normale
  • Grade II : dilatation du bassinet et des calices avec amincissement du parenchyme
  • Grade III : dilatation kystique du bassinet avec fin anneau de parenchyme
  • Grade IV : plus de parenchyme visible

Recherche remplaçant

Recherche remplaçant pour la semaine  du 21 au  25 mars 2016 inclus.

Cabinet de Radiologie Foch – 7 rue du Maréchal Foch – 85000 LA ROCHE SUR YON – tél : 02.51.05.47.06 ou 02.51.37.21.72 – mail : radio.foch@orange.fr.

Vacations de radiodiagnostic et échographies au cabinet de 8h15 à 12h30 et de 13h30 à 18h30 et d’IRM (lundi après de 14h à 19 h environ – 2 salles +/- 25 patients) et de scanner (jeudi après-midi de 14h à 18h30 environ  +/- 15 patients). Ces deux vacations se font en clinique.
Equipement du cabinet : Toshiba – Siemens et Stephanix.

Rémunération : 850,00 euros par jour ;
Frais de transport : forfait de 200,00 euros ou billet SNCF 2nde classe;
Hébergement à l’hötel en 1/2 pension.

Kyste rénal

type1 Type I [kyste simple]

  • Densité hydrique. Homogène [-10 – 20 ] UH
  • Pas de prise de contraste
  • Pas de Ca++
  • Limites régulières sans paroi visible.
 Aucune surveillance
Type2 Type II [kyste discrètement remanié]

    • 1 à 2 fines cloisons (< 1mm)
    • Minimes calcifications. Homogènes
    • Kyste < 3cm
    • Peut être dense et homogène
    • Limites régulières sans paroi visible
    • Pas de prise de contraste
Aucune surveillance
Type2f Type IIF [follow up]

  • Lésion intermédiaire II-III
  • 3 cloisons
  • Minime prise de contraste
  • Cloisons calcifiées.
Surveillance annuelle pendant 5 ans
Type3 Type III [kyste remanié ou multiloculaire ou tumeur kystique]

  • Cloisons nombreuses et ou épaisses
  • Paroi épaisse uniforme
  • Discrètes irrégularités pariétales
  • Calcifications épaisses ou irrégulières
  • Kyste dense et hétérogène ou > 3cm
  • Rehaussement de la paroi ou des cloisons
Exérèse chirurgicale
Type4 Type IV [carcinome kystique uni ou multiloculaire ou carcinome massivement nécrosé]

  • Paroi épaisse et très irrégulière
  • Végétations ou nodules muraux
  • Cloisons épaisses et irrégulières
  • Rehaussement de la composante solide
Exérèse chirurgicale

 

Exemples

Kyste Bosniak 3

 

Kyste Bosniak 4

 

Références

 

[IRM] Reins

Anatomie – Aires ganglionnaires cervicales

Aires ganglionnaires cervicales et lymphatiques

  • Aire IA (sub-mentale) : limitée en dehors par les muscles digastriques. Limitée en bas par l’os hyoïde.
  • Aire IB (rétro / sous -mandibullaire) : en dedans de la branche horizontale de la mandibule.
  • Aire II (jugulo-carotidienne supérieure) : sous le SCM de la base du crane à l’os hyoïde
  • Aire III (jugulo-carotidienne moyenne) : sous le SCM depuis l’os hyoïde jusqu’au cartilage cricoïde
  • Aire IV (jugulo-carotidienne inférieure) : sous le SCM depuis le cartilage cricoïde jusqu’à la clavicule
  • Aire Va (triangle postéro-supérieur) : derrière le SCM, en avant du trapèze, au dessus de la clavicule, au dessus du plan passant par le cricoïde
  • Aire Vb (triangle postéro-inférieur) : derrière le SCM, en avant du trapèze, au dessus de la clavicule, au dessous du plan passant par le cricoïde
  • Aire VI (cervicale antérieure) : face antéro-médiane du cou entre l’os hyoïde et le creux sus-sternal

 

Schéma de l’anatomie lymphatique cervicale

anatomie lymphatique cervicale
Anatomie lymphatique cervicale

 

Modalités de dissémination

Site Premier échelon ganglionnaire
Cavité buccale I, II, III
Larynx, Pharynx II, III, IV
Thyroïde IV, VI, médiatin supérieur VII puis III et II
Parotide II, III, pré-auriculaire, spinal sup
Sous maxillaire I, II, III

 

Curages

Fonctionnel : II + III + IV + V haut
Non conservateur : II + III + IV + V haut + veine jug int
Radical : II + III + IV + V haut + veine jug int + SCM

 

https://www.pinkybone.com/adenopathie/

 

Nouvelle classification anatomie lymphatique cervicale

1-s2.0-S0167814013005148-gr1

 

Source : http://www.palli-science.com/imageries-cou-orl

Source : http://www.palli-science.com/imageries-cou-orl

Source : http://www.palli-science.com/imageries-cou-orl

Source : http://www.palli-science.com/imageries-cou-orl

Embolie pulmonaire

Présentation clinique

  • Chez les patients ambulatoires, l’examen n’est justifié que si la probabilité clinique est forte (calculer le score) ou les D-dimères supérieurs à 500 μg/L.
  • Si la probabilité clinique est forte, doser les d-dimères est inutile car même normaux, ils n’excluent pas le diagnostic

 

Score de genève

Age > 65 ans 1
Antécédent de TVP ou d’EP 3
Chirurgie (sous anesthésie générale) ou fracture m.inf, dans le mois 2
Affection maligne, solide ou hématologique, active ou guérie depuis moins d’un an 2
Douleur unilatérale d’un membre inférieur  3
Hémoptysie  2
Douleur à la palpation veineuse profonde du m. inf. et œdème unilatéral  4
Hz cardiaque [75-94]  3
Hz cardiaque > 95  5
0-3 : faible 4-10 : moyenne [4-10] ≥ 11 : forte

 

Technique

  • Rehaussement artériel pulmonaire de bonne qualité / sous optimale / médiocre
  • Critères de qualité :
    • Mesure de l’atténuation dans le tronc pulmonaire > 250UH
    • Rehaussement des cavités droites > aux cavités gauches

 

Critères sémiologiques d’embolie pulmonaire

  • Lacunes artérielles pulmonaires
  • Uni ou bilatérale
  • Tronculaires / lobaires / segmentaires ou sous segmentaires
  • Retentissement sur le ventricule droit : mesure du rapport VD/VG (surmortalité si > 0,9)
  • Complication : infarctus pulminaire
    1. Condensation périphérique juxta pleurale ou juxta scissurale
    2. Clartés aériques centrales
    3. Pas de bronchogramme aérique

 

Références

Hémoptysie

ANGIOSCANNER THORACIQUE – PROTOCOLE

  • Temps vasculaire mixte artériel bronchique et artériel pulmonaire
  • Volume de produit de contraste : 120 ml
  • Débit d’injection : 3 ml/s
  • ROI dans l’aorte thoracique descendante
  • Déclenchement de l’acquisition à 150 UH
  • Acquisition caudo-céphalique

 

OBJECTIFS DE L’IMAGERIE

  1. LOCALISATEUR

    • Granité post-hémoptoïque (hyperdensité pulmonaire en verre dépoli)
    • Atélectasie secondaire à un encombrement bronchique
    • Lésion trachéale, bronchique, parenchymateuse pulmonaire ou vasculaire
    • Lésion nécrotique au contact d’un vaisseau
  2. DIAGNOSTIC (les quatre causes les plus fréquentes)

    1. Tuberculose pulmonaire et complications :
      • Tuberculose active/récidive tuberculeuse : nodule pulmonaire nécrotique et excavé
        Tuberculose pulmonaire de localisation lobaire supérieure gauche. Nodule excavé et foyer micronodulaire bronchiolaire périphérique.
        Tuberculose pulmonaire de localisation lobaire supérieure gauche.Nodule excavé et foyer micronodulaire bronchiolaire périphérique.
      • Bronchectasies cicatricielles : syndrome de Brocq (ou du lobe moyen) : atélectasie et bronchectasies du lobe moyen, sur sténose bronchique par obstacle ganglionnaire hilaire droit calcifié
      • Aspergillome pulmonaire : greffe aspergillaire dans une cavité pulmonaire séquellaire
        Aspergillomes pulmonaires (têtes aspergillaires arrondies et déclives) dans des cavités pulmonaires séquellaires bi-apicales.
        Aspergillomes pulmonaires (têtes aspergillaires arrondies et déclives) dans des cavités pulmonaires séquellaires bi-apicales.
      • Cancer bronchique post-cicatriciel : remaniement tumoral sur inflammation bronchique chronique
      • Broncho-lithiase : ganglion calcifié et mobile érodant les parois bronchiques
      • Malformation artério-veineuse pulmonaire séquellaire : « artériopathie de Rasmüssen »
    2. Tumeurs broncho-pulmonaires :
      • Cancer bronchique : 1ère cause chez le fumeur > 40 ans, souvent hémoptysie de faible abondance
      • Autres : carcinoïde bronchique, métastase pulmonaire
    3. Dilatation des bronches
      • Hypervascularisation bronchique : artère dystrophique
      • Hémoptysie révélant souvent une surinfection bronchique
    4. Causes cardio-vasculaires :
      • Embolie pulmonaire (infarctus pulmonaire)
      • Œdème pulmonaire cardiogénique (insuffisance cardiaque gauche, rétrécissement mitral, dilatation atriale gauche)
  3. DIAGNOSTIC (causes plus rares)

    • Traumatiques : contusion, inhalation de corps étranger intra-bronchique
    • Infectieuses : bronchite aiguë, pneumopathie et abcès pulmonaires
    • Vasculaires : anévrisme artériel bronchique ou pulmonaire, angiome bronchique, malformation artério-veineuse (maladie de Rendu-Osler)
    • Inflammatoires : vascularites et hémorragie intra-alvéolaire (HIA)
    • Iatrogènes : anticoagulant, antiagrégant plaquettaire
  4. THERAPEUTIQUE

    1. Bilan pré-embolisation (guide la voie d’abord vasculaire artérielle ou veineuse)
    2. Voie artérielle bronchique (90% des cas) ou pulmonaire (10% des cas)
    3. Répérage de l’artère spinale antérieure d’Adamkiewicz et de l’artère oesophagienne antérieure (plutôt sur l’artériographie bronchique)

[US] Pelvis

ECHOGRAPHIE PELVIENNE

INDICATION
Patiente âgée de X ans. Gestité X Parité X.
Actuellement au Xe jour du cycle menstruel.
Traitement hormonal : oui / non.
Exploration d’une douleur pelvienne, d’une méno-métrorragie.

TECHNIQUE
Echographie réalisée par voie sus-pubienne puis endovaginale.

RESULTATS
Utérus antéversé rétroversé antéfléchi rétrofléchi médian latéro-dévié à droite à gauche, de taille et de morphologie normale, mesurant H mm de hauteur, E mm d’épaisseur et L mm de largeur.

Endomètre hyperéchogène fin et régulier en rapport avec le cycle (épaisseur m).
Zone jonctionnelle régulière et fine, sans lésion d’adénomyose décelée.
Myomètre homogène sans lésion myomateuse individualisée.

Ovaire droit de morphologie normale (surface X cm2) pluri-folliculaire sans lésion focale.
Ovaire gauche de morphologie normale (surface X cm2) pluri-folliculaire sans lésion focale.

Absence d’anomalie tubaire décelée.
Cul-de-sac vaginal postérieur fin et régulier (épaisseur < 3 mm).
Absence d’adénomégalie pelvienne.
Absence d’épanchement péritonéal liquidien.
Lame d’épanchement péritonéal du cul-de-sac de Douglas physiologique.
Absence de dilatation des cavités pyélo-calicielles.
Vessie en réplétion sans anomalie pariétale.

CONCLUSION
Absence d’anomalie utérine ou annexielle.

OsiriX

Nom OsiriX
Plateforme(s) MacOs
Page de téléchargement OsiriX
Tarifs
  • Gratuit pour la version de base
  • 665€ pour la version MD

Fonctionnement d’OsiriX

Vous téléchargez une version gratuite sur le site (Cf. Lien au dessus). Ensuite l’installation est classique. Je passe.

Nous allons nous focaliser sur le fonctionnement.

Fonctions de base

Lancez OsiriX en cliquant sur l’icône.  Vous devriez avoir ce type de fenêtre qui s’ouvre.

 

Capture d’écran 2015-09-29 à 16.22.43

C’est la base de données patients.

Si vous ne voyez pas la colonne de gauche, cliquez sur ce bouton en bas à gauche.

Capture d’écran 2015-09-29 à 16.25.35

Ou sur celui-là en haut.

Capture d’écran 2015-09-29 à 16.27.01

Pour ouvrir un examen il suffit de double cliquer dessus

Capture d’écran 2015-09-29 à 16.35.51

Pour ouvrir une seconde série, il faut faire un clic droit sur la vignette de la colonne de gauche.

Capture d’écran 2015-09-29 à 16.38.21

Normalement les séries sont synchronisées. Si ce n’est pas le cas, cliquez sur cette icone en haut.

Capture d’écran 2015-09-29 à 16.40.03

Soustraction

Affichez deux séries similaires sans et avec injection de produit de contraste.

Capture d’écran 2015-09-29 à 16.41.57

Cliquez sur l’icone en haut de l’image sans injection.

Capture d’écran 2015-09-29 à 16.42.27

Maintenez la souris appuyée et « jetez » l’icone dans la fenêtre avec injection de produit de contraste.

Capture d’écran 2015-09-29 à 16.43.52

Un menu s’ouvre.

Capture d’écran 2015-09-29 à 16.46.04

Cliquez sur l’opération que vous souhaitez, soustraction, ici en l’occurence.

Capture d’écran 2015-09-29 à 16.49.21

Liste des revues de radiologie

Abdominal imaging

Resource Type: Journal
Publisher: Springer

AJNR, American journal of neuroradiology

Resource Type: Journal
Publisher: American Society of Neuroradiology

AJR, American Journal of Roentgenology

Resource Type: Journal
Publisher: American Roentgen Ray Society

American Journal of Nuclear Medicine and Molecular Imaging

Resource Type: Journal
Publisher: e-Century Publishing Corporation

Annals of nuclear medicine

  • Geneva Foundation Free Medical Journals 1999 to present
Resource Type: Journal
Publisher: Springer Verlag

Annals of the ICRP-ICRP Publication

Resource Type: Journal
Publisher: Pergamon

Australasian Radiology

Resource Type: Journal
Publisher: Wiley

BMC medical imaging

Resource Type: Journal
Publisher: BioMed Central

BMC Medical Physics

Resource Type: Journal
Publisher: BioMed Central

BMC nuclear medicine

Resource Type: Journal
Publisher: BioMed Central

The British Journal of Radiology

Resource Type: Journal
Publisher: British Institute of Radiology

Cancer Imaging

Resource Type: Journal
Publisher: BioMed Central

Cancer – Radiotherapie

Resource Type: Journal
Publisher: Elsevier Masson SAS

Cardiovascular Ultrasound

Resource Type: Journal
Publisher: BioMed Central

Case Reports in Radiology

Resource Type: Journal
Publisher: Hindawi Publishing Corporation

Clinical Radiology

Resource Type: Journal
Publisher: Elsevier Health Sciences

Computerized tomography

Resource Type: Journal
Publisher: Pergamon

Current Problems in Diagnostic Radiology

Resource Type: Journal
Publisher: Mosby

Decisions in imaging economics

Resource Type: Journal
Publisher: Allied Healthcare Group

Diagnostic and Interventional Imaging

Resource Type: Journal
Publisher: Elsevier Masson SAS

Diagnostic and Interventional Radiology: Official Journal of the Turkish Society of Radiology

Resource Type: Journal
Publisher: Turkish Society of Radiology

Diagnostic And Therapeutic Endoscopy

Resource Type: Journal
Publisher: Hindawi Publishing Corporation

EJNMMI Research

Resource Type: Journal
Publisher: Springer Verlag

EMC – Radiologie

Resource Type: Journal
Publisher: Elsevier Masson SAS

Endoscopic Ultrasound

Resource Type: Journal
Publisher: Medknow Publications

European Journal of Radiology

Resource Type: Journal
Publisher: Elsevier Science Ireland Limited

European journal of radiology extra

Resource Type: Journal
Publisher: Elsevier Science Limited

Imaging Decisions MRI

Resource Type: Journal
Publisher: Wiley-Blackwell

The Indian Journal of Radiology & Imaging

Resource Type: Journal
Publisher: Medknow Publications

Insights into Imaging

Resource Type: Journal
Publisher: Springer

International journal of biomedical imaging

Resource Type: Journal
Publisher: Hindawi Publishing Corporation

International Journal of Molecular Imaging

Resource Type: Journal
Publisher: Hindawi Publishing Corporation

International Journal of Nuclear Medicine and Biology

Resource Type: Journal
Publisher: Elsevier

International Journal of Orthodontia, Oral Surgery and Radiography

Resource Type: Journal
Publisher: Mosby

International Journal of Radiation Applications and Instrumentation. Part B. Nuclear Medicine and Biology

Resource Type: Journal
Publisher: Elsevier Science Limited

Internet Journal of Nuclear Medicine

Resource Type: Journal
Publisher: Internet Scientific Publications

Internet Journal of Radiology

Resource Type: Journal
Publisher: Internet Scientific Publications

Interventional Neuroradiology (Centauro)

Resource Type: Journal
Publisher: Centauro S.r.l.

Iranian journal of radiology

Resource Type: Journal
Publisher: Tehran University of Medical Sciences

ISRN Radiology

Resource Type: Journal
Publisher: Hindawi Publishing Corporation

Journal of applied clinical medical physics

Resource Type: Journal
Publisher: American Institute of Physics

Journal of Cardiovascular Computed Tomography

Resource Type: Journal
Publisher: Elsevier

Journal of Cardiovascular Magnetic Resonance

Resource Type: Journal
Publisher: BioMed Central

Journal of Clinical Imaging Science

Resource Type: Journal
Publisher: Medknow Publications

Journal of Contemporary Brachytherapy

Resource Type: Journal
Publisher: Termedia

Journal of Digital Imaging

Resource Type: Journal
Publisher: Springer Verlag New York Inc

Journal of Magnetic Resonance

Resource Type: Journal
Publisher: Elsevier Science

Journal of Medical Imaging & Radiation Oncology

Journal of Medical Physics / Association of Medical Physicists of India

Resource Type: Journal
Publisher: Medknow Publications

Journal of Medical Radiation Sciences

Resource Type: Journal
Publisher: Wiley

Journal of minimal access surgery

Resource Type: Journal
Publisher: Medknow Publications

Journal of Nuclear Cardiology (Elsevier)

Resource Type: Journal
Publisher: Elsevier Health Sciences

The Journal of Nuclear Medicine: JNM

Resource Type: Journal
Publisher: Society of Nuclear Medicine

Journal of Nuclear Medicine Technology

Resource Type: Journal
Publisher: Society of Nuclear Medicine

Journal of radiation research (Maruzen)

  • Geneva Foundation Free Medical Journals 1999 to present
Resource Type: Journal
Publisher: Oxford University Press

Journal of radiology case reports

Resource Type: Journal
Publisher: EduRad Publishing

Journal of Radiology Nursing

Resource Type: Journal
Publisher: Elsevier

Journal of X Ray Science and Technology (Elsevier)

Resource Type: Journal
Publisher: Elsevier Science Limited

Korean journal of radiology

Resource Type: Journal
Publisher: Korean Radiological Society

Médecine Nucléaire

Resource Type: Journal
Publisher: Elsevier

Medical Dosimetry

Resource Type: Journal
Publisher: Elsevier Health Sciences

Medical Engineering & Physics

Resource Type: Journal
Publisher: Elsevier

Nuclear Medicine and Biology

Resource Type: Journal
Publisher: Elsevier

Nuclear Medicine and Molecular Imaging

Resource Type: Journal
Publisher: Springer Berlin Heidelberg

Open Neuroimaging Journal

Resource Type: Journal
Publisher: Bentham Science Publishers

Oral Surgery, Oral Medicine, Oral Pathology, Oral Radiology, and Endodontology

Resource Type: Journal
Publisher: Mosby

Organic Magnetic Resonance

Resource Type: Journal
Publisher: Wiley

Polish Journal of Radiology

Resource Type: Journal
Publisher: International Scientific Literature, Inc.

Quantitative Imaging in Medicine and Surgery

Resource Type: Journal
Publisher: AME Publications

Radiation oncology

Resource Type: Journal
Publisher: BioMed Central

Radiation Oncology Journal

Resource Type: Journal
Publisher: Korean Society for Therapeutic Radiology and Oncology

Radiation Protection Dosimetry

Resource Type: Journal
Publisher: Oxford University Press

Radiographics : a review publication of the Radiological Society of North America, Inc

Resource Type: Journal
Publisher: Radiological Society of North America

Radiography

Resource Type: Journal
Publisher: Elsevier

Radiologia Brasileira

Resource Type: Journal
Publisher: Colegio Brasileiro de Radiologia

Radiology

Resource Type: Journal
Publisher: Radiological Society of North America

Radiology and oncology

Resource Type: Journal
Publisher: De Gruyter Open

Radiology Research and Practice

Resource Type: Journal
Publisher: Hindawi Publishing Corporation

Revista argentina de radiología

Resource Type: Journal
Publisher: Sociedad Argentina de Radiología

Revista Chilena de radiología

Resource Type: Journal
Publisher: Publimpacto

Revista Española de Medicina Nuclear

  • Geneva Foundation Free Medical Journals 2001 to present (Embargo: 1 year)
Resource Type: Journal
Publisher: Ediciones Doyma, S. L.

Revista Española de Medicina Nuclear e Imagen Molecular (English Edition)

Resource Type: Journal
Publisher: Elsevier Espana SL

Revista Española de Medicina Nuclear (English Edition)

Resource Type: Journal
Publisher: Ediciones Doyma, S. L.

SA Journal of Radiology

Resource Type: Journal
Publisher: Health and Medical Publishing Group (HMPG)

Skeletal Radiology

Resource Type: Journal
Publisher: Springer Berlin Heidelberg

Surgical and Radiologic Anatomy

Resource Type: Journal
Publisher: Springer Verlag France

Techniques in vascular and interventional radiology

Resource Type: Journal
Publisher: Elsevier Science

World Journal of Nuclear Medicine

Resource Type: Journal
Publisher: World Federation of Nuclear Medicine & Biology

World journal of radiology

Resource Type: Journal
Publisher: Baishideng Publishing Group

 

 

[IRM] Crane +

IRM ENCÉPHALIQUE

CONTEXTE
Bilan
 
TECHNIQUE
– Séquences avant injection de produit de contraste gadoliné : axiale FLAIR, T2*, diffusion, T1
– Séquences après injection de produit de contraste gadoliné : axiale T1, 3DT1
 
RÉSULTATS
Structures médianes en place.
 
Pas d’anomalie du signal FLAIR du parenchyme cérébral sus ou sous tentoriel.
Quelques hypersignaux FLAIR de la substance blanche péri-ventriculaire, non confluents, aspécifiques.
 
Pas de stigmates hémorragiques intra ou extra axiaux en pondération T2*.
Pas d’hypersignal de diffusion du parenchyme cérébral.
Absence de prise de contraste cérébrale sus ou sous tentorielle suspecte.
Les structures veineuses sont perméables
 
CONCLUSION
Absence d’anomalie décelée
 
Iconographie mise à disposition sous forme de planche papier et conservée localement sur le PACS.
 
 

Neuroradio

Pathologies tubaires

Pathologies tubaires

Hydro-salpinx
  • Signe de la roue dentée (franges tubaires)
  • Dilatation kystique du contenu de la trompe
  • Anéchogène homogène
Case courtesy of Dr Roberto Schubert, Radiopaedia.org. From the case rID: 17761
Pyosalpinx
  • Signes d’infection
  • Utérus augmenté de volume
  • Liquide intra-cavitaire utérin
  • Liquide dans les trompes
  • Collection finement échogène (pus)
  • Signe de la roue dentée (cogwheel sign)
  • Parois épaisses, franges tubaires épaissies
  • Épaississement de la paroi des trompes (salpingite)
  • Hypervascularisation en doppler couleur
  • Contenu de la trompe plus échogène que dans l’hydrosalpinx
  • Chercher épanchement pelvien
  • Peut être variable dans le temps
  • Signe du septa incomplet (au niveau de la plicature)
Case courtesy of Dr Mohammad A. ElBeialy, Radiopaedia.org. From the case rID: 23820
Kyste para-tubaire
Cancer de la trompe
Case courtesy of Radiopaedia.org. From the case rID: 11817 Case courtesy of Radiopaedia.org. From the case rID: 11817

Puberté précoce de la fille

Définition de la puberté précoce

  • Puberté : développement du bouton mammaire +/- pilosité pubienne
  • Précoce : âge < 8 ans chez la fille

Objectifs de l’échographie pelvienne

  • Apprécier l’imprégnation oestrogénique des organes génitaux internes
  • Éliminer une lésion ovarienne (sécrétante)
  • Conclure sur le caractère morphologique impubère ou pubère des organes génitaux internes

Données échographiques

Conclusion de l’échographie Organes génitaux internes de type impubère Organes génitaux internes de type pubère
Longueur utérine (sagittal) < 35 mm > 35 mm
Ligne de vacuité (endomètre) absente présente
Rapport col/corps utérins > 1 < 1
Longueur des ovaires < 25 mm > 25 mm
Follicules ovariens a- ou pauci-folliculaire pluri-folliculaire
+/- Doppler des artères utérines Flux systolique sans diastole
Résistivité normale
Flux diastolique constant
Résistivité diminuée

Pour aller plus loin

Garel L, Dubois J, Grignon A, Filiatrault D, Van Vliet G. US of the pediatric female pelvis: a clinical perspective. Radiographics. 2001 Nov-Dec;21(6):1393-407.

Tube digestif – Occlusion digestive / Syndrome occlusif

Raisonnement devant une occlusion

  • Confirmer le diagnostic d’occlusion mécanique
  • Niveau de l’obstacle
  • Obstruction du grêle de bas ou haut* grade
    *Différence de diamètre entre anse d’amont et d’aval > à 50 %

 

 

Occlusion grelique

  • Distention des anses > 25-30 mm

  • Chercher jonction anse dilatée – anse plate

Occlusion colique

  • Critère de gravité

    • Caecum diastatique > 10-12 cm
    • Pneumatose pariétale colique
    • Aéromésentérie
    • Aéroportie
    • Défect de rehaussement pariétal
    • Pneumopéritoine

 

 

[IRM] Conduits auditifs internes

IRM ENCEPHALIQUE ET DES CONDUITS AUDITIFS INTERNES

CONTEXTE
Bilan

TECHNIQUE
– Séquences axiales sur l’encéphale : FLAIR, T1, diffusion
– Séquence 3D : T2  centrée sur les angles ponto-cérebelleux.
– Séquences après injection de gadolinium : 3DT1 (en écho de gradient), T1

RESULTATS
Présences de quatre nerfs dans les conduits auditifs internes.
Angles ponto-cérebelleux libres.
Pas d’anomalie de signal ou de morphologie endolabyrinthique.

Structures médianes en place.
Pas d’anomalie du signal FLAIR du parenchyme cérébral sus ou sous tentoriel.
Quelques hypersignaux FLAIR de la substance blanche péri-ventriculaire, non confluents, aspécifiques.
Pas d’hypersignal de diffusion du parenchyme cérébral.
Pas de prise de contraste suspecte
Pas d’hydrocéphalie.

CONCLUSION
Absence d’anomalie décelée

Iconographie mise à disposition sous forme de planche papier et conservée localement sur le PACS.

MatLab pour les radiologues et les étudiants

Bases de programmation et algorithmique avec MatLab

Travailler ses images médicales grâce à MatLab

Introduction

  • MatLab = Matrix Laboratory
  • Langage de programmation simple, non compilable, rapide, universel
  • Multiplateforme (Mac, PC, Linux)
  • Importante communauté d’utilisateurs
  • Apprentissage rapide
  • Pourquoi MatLab et pas un autre langage ?? => nous ne sommes pas programmateurs !

Présentation générale

matlab

  • Le menu du haut est similaire à la plupart des programmes
  • Le dossier de travail, est le dossier où sont contenus vos fichiers DICOM, images, données, etc.
  • La fenêtre de commande est l’espace où l’on tape les lignes de commande qui exécutent des actions
  • La fenêtre de mémoire de travail affiche le nom des constantes contenant les valeurs générées par le programme, leur taille et leur type de contenu
  • La fenêtre d’historique répertorie toutes vos dernières actions

Pour bien commencer avec MatLab

  • Il faut d’abord se placer dans son dossier de travail dans la fenêtre de gauche en cliquant sur la double flèche <<
  • Celui-ci contient les fichiers que vous souhaitez traiter
  • Nous allons ensuite demander à MatLab d’effectuer quelques petits calculs pour se familiariser avec son utilisation

Opérations numériques classiques

  • Commençons par la base de la base. Faire une addition. Rien de plus simple. Il faut considérer que MatLab n’est rien de plus qu’une supercalculette.
  • Dans la fenêtre de commandes nous allons lui demander de résoudre 36 + 44 (je sais que vous avez déjà trouvé la réponse !)
  • Pour cela il suffit de taper 36 + 44 dans la fenêtre de commande

>> 36 + 44

ans =

   80

  • Quand je disais que c’est facile de programmer, maintenant vous me croyez
  • Vous pouvez aussi soustraire, multiplier ou diviser
  • Deux remarques à ce niveau :
    • MatLab est un logiciel anglo-saxon, les virgules sont remplacées par des points
    • Le signe de la multiplication est l’étoile *

>> 34-52

ans =

   -18

>> 1.5 * 4

ans =

     6

>> 12 / 4

ans =

     3

  • Combinons les opérations
  • xemple :

>> 1 - (2 + 5.2)*10 / (5^3)

ans =

   0.4240

 

Stocker une variable de travail

  • Bon, c’est intéressant de pouvoir faire des opérations numériques, mais il faut bien ranger les résultats quelque part si on veut pouvoir les réutiliser après (à moins d’avoir une mémoire d’ordinateur, ce qui n’est généralement pas le cas)
  • Nous allons donc stocker les résultats dans ce qu’on appelle des « variables »
  • Pour comprendre la suite, il faut assimiler trois notions très simples. Considérons qu’une variable soit un pot, rangé sur une étagère de cuisine.
    • Une variable a un nom unique sensible à la casse, c’est l ’étiquette qui est collée sur le pot (les majuscules sont prises en compte, Sel n’est pas sel)
    • Une variable à un type, c’est la forme du pot, qui du coup ne peut pas contenir n’importe quel contenu (en fait on indique si la variable contiendra des nombres entiers, des nombres réels, du texte ou autre chose, ceci conditionnera la quantité de mémoire utilisée par votre ordinateur pour stocker votre variable)
    • Une variable à un contenu dont vous pouvez récupérer la valeur à n’importe quel moment. Je peux décider d’ouvrir mon pot et de prendre du Sel
  • Tout ça n’est qu’une question de gout
  • Par exemple nous allons stocker dans la variable nommée A la valeur de l’opération à droite du signe =
  • Notez que ^ correspond à la mise en puissance. Ici 5 à la puissance 3
  • La variable A contient la valeur 0.4240
  • Pour interroger MatLab et connaitre la valeur de A, il suffit de taper A
  • On peut ensuite combiner les opérations comme avec B

>> A = 1 - (2 + 5.2)*10 / (5^3)

A =

   0.4240

>> A

A =

   0.4240

>> B = 2 * A

B =

   0.8480

 

Lire une image DICOM avec MatLab

  • Bon, tout ça c’est très bien me direz vous, mais quel rapport avec la radiologie ?
  • J’y viens
  • En imagerie médicale, les images générées par les modalités sont dans un format particulier nommé DICOM
  • Chaque fichier image a pour particularité de contenir systématiquement 2 informations
    • Le header, une partie textuelle qui contient le nom du patient, son age, la modalité, etc
    • L’image en elle-même, généralement en noir et blanc, non compressée
  • Pour lire une image DICOM entièrement, il faut donc lire ces 2 informations
  • Arrivé ici, vous savez faires quelques opérations simples avec MatLab et stocker vos résultats en mémoire. Je vous conseille de bien vous familiariser avec ces notions avant de passer à ce qui suit.
  • Nous allons apprendre à lire un fichier DICOM. Si vous ne savez pas ce qu’est un fichier DICOM, disons que c’est le fichier qui contient votre image médicale. Il est constitué de 2 parties. La première appelée header contient les informations concernant votre patient et l’examen (NOM, AGE, MODALITE, DATE DE L’EXAMEN, etc.).
  • La seconde contient l’image en elle-même. Elle est stockée sous la forme d’une matrice et chaque pixel est codé sous la forme d’un nombre.
  • Placez vous dans le dossier contenant votre fichier. Tapez la commande suivante. Votre image est alors décodée.

>> dicomread(’image_528.dcm')

   17     12     18     16     14     19     19     13     13     13     16     10     16     15

     17     17     20     12     14     16     15     14     17     15     21     20     12     16

     12     14     19     19     14     17     18     10     16     16     17     23     15     20

     11     16     13     20     16     13     13     13     13     21     15     18     18     16

     14     15     14     15     13     21     15     15     21     10     16     15     10     16

     15     20     14     13     13     20     14     11     11     17     14     17     19     19

     13     15     19     12     14     15     12     16     17     17     13     19     17     19

     15     20     14     18     17     13     17     17     15     16     17     10     15     13

     12     19     14     19     11     16     14     15     14     17     14     16     21     8

     10     23     15     18     15     14     15     13     14     16     16     18     17     10

     19     11     15     19     16     13     18    

 

  • Si vous rajoutez « ; » à la fin, l’image est lue mais MatLab n’affiche pas les valeurs de tous les pixels

>> dicomread(’image_528.dcm');

>>

  • L’image est lue mais pas stockée

>> A = dicomread('image_528.dcm');

>>

  • La variable A contient l’image lue
  • Bravo ! Vous venez de lire votre première image DICOM
  • Peaufinons un peu la technique
  • Commençons par la ranger dans une variable pour pouvoir la réutiliser

>> image1 = dicomread(’image_528.dcm’)

  • Ensuite, pas besoin d’afficher le contenu sous forme de chiffres. Nous pouvons cacher le résultat de la lecture en terminant les commandes par ;

>> image1 = dicomread(’image_528.dcm’);

  • Regardez dans le la mémoire de travail en haut à droite, vous devez voir apparaître votre image. On peut y lire son nombre, la taille de la matrice et le type (Cf. Stocker une variable)

Afficher une image

>> imshow(image1,’DisplayRange’,[])

>>

  • hop

matlab2

>> imagesc(A)

>>

  • matlab2

A suivre…

Prochaine étape : réaliser une soustraction

Si vous avez des questions ajoutez un commentaire à cet article

 

Statique du bassin

  • Radiographie du bassin de face en chargeStatique du bassin
  • Droite passant par la partie inférieure des 2 articulations sacro-iliaques
  • Si la ligne est horizontale : normal
  • Si angulation : tangente horizontale à chacune des tête fémorale
  • Inégalité significative si > 1cm

Rachis – Malformation de Chiari

  • Ligne occipito-palatine (ligne de Chamberlain)
  • Ligne occipito-clivale (ligne de McRae)
  • Variante normale
    • Hernie tonsiles cérebelleux < 3 mm
  • Ectopie celebelleuse
    • Hernie tonsiles cérebelleux [3-5] mm

Chiari Type 1

  • Hernie tonsiles cérebelleux > 5 mm
  • Asymétrique
  • Elongation des amygdales et de la partie médiane des lobes inférieurs du cervelet

Chiari type 2

  • Ptose du vermis inférieur
  • Ptose de la protubérance
  • Ptose de la moelle allongée dans le canal cervical
  • Foramen Magnum allongé
  • Myéloméningocèle associée

Chiari type 3

  • Type 2 +
  • Hernie du cervelet dans un spina bifida occipito vertébral
  • Méningo-encéphalocèle

Chiari type 4

  • Hypoplasie cervelet
  • Ectopie bulbaire

Myélopathies

Définition des myélopathies

  • Toutes affections médullaires
  • Partielles : une ou plusieurs voies de passages
  • Totales ou transverses : « section médullaire »

 

  • Myélopathies aigues : < 4 semaines
  • Myélopathies chroniques : > 4 semaines
  • Myélite : myélopathie inflammatoire

 

Protocole d’exploration des myélopathies

IRM

  • Sag. T1, T2
  • +/- sag. T2 STIR : patho. Inflam. 
  • Injection 0,1 mmol/kg gadolinium 
  • Ax. T2 SE ou T2 EG 
  • Sag. et ax. T1 après injection
  • Sag. T2 +/- T1 gado. sur le segment non exploré
  • Si lésion : compléter par IRM cérébrale

 

Myélopathies aiguës

MYÉLOPATHIES CHRONIQUES

  • Éliminer cause chirurgicale : cause extrinsèque
  • SEP +++
  • ADEM
  • Maladie de Devic (NMOD)
  • Autres
    • Maladies de système : maladies auto-immunes (LED, Behcet, Gougerot Sjögren, Sd APL), sarcoïdose
    • Infectieuses : virales +++, maladie de Lyme 
    • Paranéoplasiques : très rares 
    • Toxiques : méthotrexate intrathécal, post-radique (involution graisseuse des vertèbres aux mêmes étages)
    • Ischémiques

Position de l’utérus

Position de l’utérus

  • Version de l’utérus
    • Regarder angle entre le corps de l’utérus et la ligne ombilico-coccygienne (angle violet)
  • Flexion de l’utérus
    • Regarder angle entre le corps de l’utérus et le col de l’utérus (angle vert)
 version flexion
Antéversion
Antéflexion
version flexion 1
Rétroversion
Antéflexion
version flexion 2
Antéversion
Rétroflexion
version flexion 3
Rétroversion
Rétroflextion
version flexion 4

 

FIGO 2018 – Cancer du col utérin

Stade I – Cancer strictement limité au col
Stade IA
Cancer invasif identifié seulement au microscope et envahissement du stroma :
profondeur maximum de 5 mm
IA1profondeur ≤ 3 mm, largeur ≤ 7 mm
IA23 mm < profondeur ≤ 5 mm et largeur ≤ 7 mm
Stade IB – Cancer clinique limité au col visible en macroscopie ou cancer microscopique de dimension supérieure au IAIB1T <2 cm
IB22 ≤ T <4 cm
IB3T ≥ 4 cm
Stade II – Cancer étendu au-delà du col mais n’atteignant pas la paroi pelvienne ni le tiers inférieur du vagin

Stade IIA –  jusqu’aux deux tiers supérieurs du vagin


IIA1Taille T ≤ 4 cm
IIA2 Taille T >4 cm

Stade IIB paramètres (proximaux)
Stade III – Cancer étendu jusqu’à la paroi pelvienne et/ou au tiers inférieur du vagin (y compris hydronéphrose)


Stade IIIA

 Atteinte vaginale jusqu’au tiers inférieur

 Stade IIB
Fixation à la paroi pelvienne
(ou hydronéphrose ou rein muet)
Stade IIIC
IIIC1
 Atteinte ganglionnaire pelvienne *

IIIC2
Atteinte ganglionnaire lombo-aortique *
Stade IV – Cancer étendu au-delà du petit bassin ou à la muqueuse vésicale et/ou rectale

Stade IVA
 Organe adjacent (vessie, rectum)

Stade IVB
 A distance

FIGO et TNM – Cancer de l’endomètre

FIGO (2009) TNM (2009) Description
Stade I T1 Tumeur limitée au corps utérin
IA T1a Tumeur limitée à l’endomètre ou ne dépassant pas la moitié du myomètre
IB T1b Tumeur envahissant la moitié du myomètre ou plus de la moitié du myomètre
Stade II T2 Tumeur envahissant le stroma cervical mais ne s’étendant pas au-delà de l’utérus
Stade III T3 et/ou N1 Extensions locales et/ou régionales comme suit :
IIIA T3a Séreuse et/ou annexes
IIIB T3b Envahissement vaginal et/ou paramétrial
IIIC N1 Atteinte des ganglions lymphatiques régionaux
IIIC1 Ganglions pelviens
IIIC2 Ganglions lomboaortiques ± ganglions pelviens
Stade IV T4 et/ou M1 Extension à la muqueuse vésicale et/ou intestinale et/ou métastases à distance
IVA T4 Extension à la muqueuse vésicale et/ou intestinale
IVB M1 Métastases à distance incluant les métastases intra-abdominales et/ou ganglions inguinaux

Source : HAS 2010

FIGO 2023Description
Stade ILimité au corps utérin et à l’ovaire
IADisease limited to the endometrium OR non-aggressive histological type, i.e. low-grade endometroid, with invasion of less than half of myometrium with no or focal lymphovascular space involvement (LVSI) OR good prognosis disease
IA1 Non-aggressive histological type limited to an endometrial polyp OR confined to the endometrium
IA2 Non-aggressive histological types involving less than half of the myometrium with no or focal LVSI
IA3 Low-grade endometrioid carcinomas limited to the uterus and ovary
IBNon-aggressive histological types with invasion of half or more of the myometrium, and with no or focal LVSI
ICAggressive histological types limited to a polyp or confined to the endometrium
Stade IIInvasion of cervical stroma without extrauterine extension OR with substantial LVSI OR aggressive histological types with myometrial invasion
IIAInvasion of the cervical stroma of non-aggressive histological types
IIBSubstantial LVSI of non-aggressive histological types
IICAggressive histological types with any myometrial involvement
Stade IIILocal and/or regional spread of the tumor of any histological subtype
IIIAInvasion of uterine serosa, adnexa, or both by direct extension or metastasis
IIIA1 Spread to ovary or fallopian tube (except when meeting stage IA3 criteria) IIIA2 Involvement of uterine subserosa or spread through the uterine serosa
IIIBMetastasis or direct spread to the vagina and/or to the parametria or pelvic peritoneum
IIIB1 Metastasis or direct spread to the vagina and/or the parametriaIIIB2 Metastasis to the pelvic peritoneum
IIICMetastasis to the pelvic or para-aortic lymph nodes or both
IIIC1 Metastasis to the pelvic lymph nodesIIIC1i MicrometastasisIIIC1ii MacrometastasisIIIC2 Metastasis to para-aortic lymph nodes up to the renal vessels, with or without metastasis to the pelvic lymph nodesIIIC2i MicrometastasisIIIC2ii Macrometastasis
Stade IVSpread to the bladder mucosa and/or intestinal mucosa and/or distance metastasis
IVAInvasion of the bladder mucosa and/or the intestinal/bowel mucosa
IVBAbdominal peritoneal metastasis beyond the pelvis
IVCDistant metastasis, including metastasis to any extra- or intra-abdominal lymph nodes above the renal vessels, lungs, liver, brain, or bone