TECHNIQUE
IRM Tesla
– Séquences avant injection de produit de contraste : coronales T1, T2, sagittale T1 sur la région hypophysaire
– Séquences après injection de produit de contraste : coronale T1 (dynamiques et tardives)
RÉSULTATS
Antéhypophyse de taille et de morphologie normales, de signal homogène
Pas d’anomalie focale après injection de gadolinium
Post-hypophyse en hypersignal spontané T1, d’aspect normal
Respect du diaphragme et du plancher sellaire
Pas d’anomalie des loges caverneuses
Intégrité des citernes supra-sellaires et opto-chiasmatiques
Bonne aération du sinus sphénoïdal
Chiasma optique d’aspect normal
Signes négatifs : pas de cloison, végétation ou nodule. Pas de flux doppler
Compter les follicules adjacents
Aller chercher de l’endométriose à distance
IRM
Endométriome typique
Hyper T1 ≥ à celui de la graisse
Persistant sur les séquences FS
Hypo signal T2 « shading »
Niveaux
Caillots intra kystiques (NON vascularisés)
Paroi épaisse fibreuse
Forme non arrondie par adhérence
Décidualisation
DD
Kyste hémorragique du corps jaune, mais évolution d’aspect en maille et
Kyste dermoïde à composante sébacée importante, rechercher Ca++ et phanères
kyste de Tarlov…
Méningocèle
Cystadénome séreux ou mucineux
Type 4 – Kyste contenant des végétations
Végétations
Bénin vs borderline
Codage Doppler
Signe du croissant :
Parenchyme ovarien normal avec ses follicules (élimine souvent une tumeur primitive qui atteint l’ensemble du parenchyme ovarien)
Étiologie
Cystadénome séreux uniloculaire avec végétations
Cystadénome séreux uniloculaire Border Line (avec végétations)
Cystadénocarcinome séreux
DD
Caillot (pas de flux en doppler énergie)
CAT
Borderline : annexectomie (et souvent bilatérale…)
Chir
Type 5 – le kyste à parois / cloisons épaisses ou nodule solide
Épaississement pariétal très vascularisé
Nodule
Contenu hétérogène
Très vascularisé en Doppler
Jamais bénin
Souvent séreux borderline, adénocarcinome endométrioïde
DD
Kyste lutéal hémorragique (pas de codage Doppler)
Kyste dermoïde = tératome matures kystique
Kyste
Nodule de Rokitansky
Cheveux (stries linéaires)
Type 6 – Tumeur ovarienne solide pure
Syndrome de masse
Mobile ou pas ? (utilité de la palpation abdominale per opératoire)
Doppler intra-tumoral
Compléter par une IRM
Étiologie
Tératome mature kystique (dermoïde)
Fibrome
Tumeur de la granulosa
Cancer primitif de l’ovaire
Métastase ovarienne
DD
Myome sous séreux pédiculé
CAT
Chir
Score O-RADS-IRM
Le score O-RADS-IRM classe en 5 catégories de risque de malignité les masses annexielles considérées complexes ou indéterminées en échographie. Le score O-RADS IRM 1 correspond à l’absence de lésion annexielle (disparition de la lésion en IRM ou présence d’une lésion non annexielle). Le score O-RADS IRM 2 correspond à des lésions bénignes avec un faible risque de malignité (VPP < 2%). Il s’agit soit de lésion liquidienne pure (cystadénome séreux bénin, kyste folliculaire), graisseuse majoritaire (tératome mature) ou endométriosique (endométriome) (Figure 1) ou bien de lésion avec une portion tissulaire en hyposignal T2 et hyposignal diffusion. Pour rappel, une portion tissulaire est définie en IRM comme des cloisons irrégulières, un nodule mural, des végétations ou une masse solide (>80% de portion tissulaire) se rehaussant après injection de gadolinium. Ces lésions O-RADS IRM 2 ne nécessitent pas de suivi particulier. Le score O-RADS IRM 3 correspond à des lésions probablement bénignes (VPP<5%). Il s’agit soit de lésions liquidiennes dont le contenu n’est pas strictement liquidien pur, graisseux majoritaire ou endométriosique, soit de lésions liquidiennes multiloculaires ou bien de lésions avec une portion tissulaire se rehaussant selon une courbe de type 1 (rehaussement initial moins important que le myomètre avec une augmentation progressive et faible sans plateau) (Figure 2). Les lésions O-RADS 3 nécessitent une surveillance rapprochée par échographie ou IRM afin de vérifier la stabilité de la taille sur 2 ans. Le score O-RADS IRM 4 correspond à des lésions indéterminées en IRM (VPP de 5 à 95 %). Il s’agit de masses avec portion tissulaire et une courbe de rehaussement de type 2 (rehaussement initial non pré décalé par rapport au myomètre avec une augmentation progressive et modérée avec plateau). Pour le score O-RADS IRM 4, il est primordial de donner des orientations anatomopathologiques car il peut s’agir de lésions bénignes, malignes ou borderline débouchant sur une prise en charge différente. Ces lésions O-RADS IRM 4 nécessitent une prise en charge chirurgicale dans un centre de référence. Le score O-RADS IRM 5 correspond à des lésions de risque de malignité très élevé (VPP >95%). Le score 5 est lié soit à la présence d’implants péritonéaux soit à la présence d’une portion tissulaire avec une courbe de type 3 (rehaussement initial pré décalé par rapport au myomètre avec augmentation importante et plateau) (Figure 3). Ces lésions nécessitent de réaliser un bilan d’extension par un TDM thoraco abdomino pelvienne et une prise en charge chirurgicale dans un centre de référence avec indication théorique de cyto-réduction d’emblée.
Extension en hauteur par rapport à l’isthme, rétention
Extension aux paramètres (proximal – distal) (IIB / IIIB): perte du liseré en hyposignal du stroma, tumeur bombant dans les paramètres, interface irrégulière tumeur/paramètre
> 1000 : embryon tjs visible par voie endovaginale
> 2500 : visible par voie sus pubienne
> 7000 : toujours visible. Et vésicule vitelline visible
Embryon
Embryon > 4 mm doit avoir activité cardiaque
Sac > 10 mm : vésicule doit être vue
Sac > 16mm : embryon doit être vu
Sac > 20mm sans embryon : œuf clair
Critères non évolutivité : embryon > 5 mm sans activité cardique, sac > 20 mm sans embryon, embryon non visible ou < 5 mm sans croissance sur 2 écho à 8j d’intervalle
Mesure de la longueur cranio caudal (LCC) avant 14 semaines d’aménorrhée ( SA)
/!\ Ces valeurs sont une estimation /!\
(Cf. SAlomon LJ. Comment déterminer la date de début de grossesse ? Recommandations pour la pratique clinique J Gynecol Obstet Biol Reprod, 2011.40:726-33)
siège au niveau de la plèvre, des scissures et des espaces péri-broncho-vasculaires
association à des adénopathies, un épaississement global des espaces péri-broncho-vasculaires
lignes septales (de morphologie polygonale soulignant l’unité fondamentale du poumon entourée de plèvre (et donc de lymphatiques), le lobule secondaire de Miller).
Chez les patients ambulatoires, l’examen n’est justifié que si la probabilité clinique est forte (calculer le score) ou les D-dimères supérieurs à 500 μg/L.
Si la probabilité clinique est forte, doser les d-dimères est inutile car même normaux, ils n’excluent pas le diagnostic
Score de genève
Age > 65 ans
1
Antécédent de TVP ou d’EP
3
Chirurgie (sous anesthésie générale) ou fracture m.inf, dans le mois
2
Affection maligne, solide ou hématologique, active ou guérie depuis moins d’un an
2
Douleur unilatérale d’un membre inférieur
3
Hémoptysie
2
Douleur à la palpation veineuse profonde du m. inf. et œdème unilatéral
4
Hz cardiaque [75-94]
3
Hz cardiaque > 95
5
0-3 : faible
4-10 : moyenne [4-10]
≥ 11 : forte
Technique
Rehaussement artériel pulmonaire de bonne qualité / sous optimale / médiocre
Critères de qualité :
Mesure de l’atténuation dans le tronc pulmonaire > 250UH
Rehaussement des cavités droites > aux cavités gauches
Critères sémiologiques d’embolie pulmonaire
Lacunes artérielles pulmonaires
Uni ou bilatérale
Tronculaires / lobaires / segmentaires ou sous segmentaires
Retentissement sur le ventricule droit : mesure du rapport VD/VG (surmortalité si > 0,9)
Complication : infarctus pulminaire
Condensation périphérique juxta pleurale ou juxta scissurale
TECHNIQUE
– Séquences avant injection de produit de contraste gadoliné : axiale FLAIR, T2*, diffusion, T1
– Séquences après injection de produit de contraste gadoliné : axiale T1, 3DT1
RÉSULTATS Structures médianes en place.
Pas d’anomalie du signal FLAIR du parenchyme cérébral sus ou sous tentoriel.
Quelques hypersignaux FLAIR de la substance blanche péri-ventriculaire, non confluents, aspécifiques.
Pas de stigmates hémorragiques intra ou extra axiaux en pondération T2*.
Pas d’hypersignal de diffusion du parenchyme cérébral.
Absence de prise de contraste cérébrale sus ou sous tentorielle suspecte.
Les structures veineuses sont perméables
CONCLUSION Absence d’anomalie décelée
Iconographie mise à disposition sous forme de planche papier et conservée localement sur le PACS.
IRM ENCEPHALIQUE ET DES CONDUITS AUDITIFS INTERNES
CONTEXTE
Bilan
TECHNIQUE
– Séquences axiales sur l’encéphale : FLAIR, T1, diffusion
– Séquence 3D : T2 centrée sur les angles ponto-cérebelleux.
– Séquences après injection de gadolinium : 3DT1 (en écho de gradient), T1
RESULTATS
Présences de quatre nerfs dans les conduits auditifs internes.
Angles ponto-cérebelleux libres.
Pas d’anomalie de signal ou de morphologie endolabyrinthique.
Structures médianes en place.
Pas d’anomalie du signal FLAIR du parenchyme cérébral sus ou sous tentoriel.
Quelques hypersignaux FLAIR de la substance blanche péri-ventriculaire, non confluents, aspécifiques.
Pas d’hypersignal de diffusion du parenchyme cérébral.
Pas de prise de contraste suspecte
Pas d’hydrocéphalie.
CONCLUSION Absence d’anomalie décelée
Iconographie mise à disposition sous forme de planche papier et conservée localement sur le PACS.
Pourquoi MatLab et pas un autre langage ?? => nous ne sommes pas programmateurs !
Présentation générale
Le menu du haut est similaire à la plupart des programmes
Le dossier de travail, est le dossier où sont contenus vos fichiers DICOM, images, données, etc.
La fenêtre de commande est l’espace où l’on tape les lignes de commande qui exécutent des actions
La fenêtre de mémoire de travail affiche le nom des constantes contenant les valeurs générées par le programme, leur taille et leur type de contenu
La fenêtre d’historique répertorie toutes vos dernières actions
Pour bien commencer avec MatLab
Il faut d’abord se placer dans son dossier de travail dans la fenêtre de gauche en cliquant sur la double flèche <<
Celui-ci contient les fichiers que vous souhaitez traiter
Nous allons ensuite demander à MatLab d’effectuer quelques petits calculs pour se familiariser avec son utilisation
Opérations numériques classiques
Commençons par la base de la base. Faire une addition. Rien de plus simple. Il faut considérer que MatLab n’est rien de plus qu’une supercalculette.
Dans la fenêtre de commandes nous allons lui demander de résoudre 36 + 44 (je sais que vous avez déjà trouvé la réponse !)
Pour cela il suffit de taper 36 + 44 dans la fenêtre de commande
>> 36 + 44
ans =
80
Quand je disais que c’est facile de programmer, maintenant vous me croyez
Vous pouvez aussi soustraire, multiplier ou diviser
Deux remarques à ce niveau :
MatLab est un logiciel anglo-saxon, les virgules sont remplacées par des points
Le signe de la multiplication est l’étoile *
>> 34-52
ans =
-18
>> 1.5 * 4
ans =
6
>> 12 / 4
ans =
3
Combinons les opérations
xemple :
>> 1 - (2 + 5.2)*10 / (5^3)
ans =
0.4240
Stocker une variable de travail
Bon, c’est intéressant de pouvoir faire des opérations numériques, mais il faut bien ranger les résultats quelque part si on veut pouvoir les réutiliser après (à moins d’avoir une mémoire d’ordinateur, ce qui n’est généralement pas le cas)
Nous allons donc stocker les résultats dans ce qu’on appelle des « variables »
Pour comprendre la suite, il faut assimiler trois notions très simples. Considérons qu’une variable soit un pot, rangé sur une étagère de cuisine.
Une variable a un nom unique sensible à la casse, c’est l ’étiquette qui est collée sur le pot (les majuscules sont prises en compte, Sel n’est pas sel)
Une variable à un type, c’est la forme du pot, qui du coup ne peut pas contenir n’importe quel contenu (en fait on indique si la variable contiendra des nombres entiers, des nombres réels, du texte ou autre chose, ceci conditionnera la quantité de mémoire utilisée par votre ordinateur pour stocker votre variable)
Une variable à un contenu dont vous pouvez récupérer la valeur à n’importe quel moment. Je peux décider d’ouvrir mon pot et de prendre du Sel
Tout ça n’est qu’une question de gout
Par exemple nous allons stocker dans la variable nommée A la valeur de l’opération à droite du signe =
Notez que ^ correspond à la mise en puissance. Ici 5 à la puissance 3
La variable A contient la valeur 0.4240
Pour interroger MatLab et connaitre la valeur de A, il suffit de taper A
On peut ensuite combiner les opérations comme avec B
>> A = 1 - (2 + 5.2)*10 / (5^3)
A =
0.4240
>> A
A =
0.4240
>> B = 2 * A
B =
0.8480
Lire une image DICOM avec MatLab
Bon, tout ça c’est très bien me direz vous, mais quel rapport avec la radiologie ?
J’y viens
En imagerie médicale, les images générées par les modalités sont dans un format particulier nommé DICOM
Chaque fichier image a pour particularité de contenir systématiquement 2 informations
Le header, une partie textuelle qui contient le nom du patient, son age, la modalité, etc
L’image en elle-même, généralement en noir et blanc, non compressée
Pour lire une image DICOM entièrement, il faut donc lire ces 2 informations
Arrivé ici, vous savez faires quelques opérations simples avec MatLab et stocker vos résultats en mémoire. Je vous conseille de bien vous familiariser avec ces notions avant de passer à ce qui suit.
Nous allons apprendre à lire un fichier DICOM. Si vous ne savez pas ce qu’est un fichier DICOM, disons que c’est le fichier qui contient votre image médicale. Il est constitué de 2 parties. La première appelée header contient les informations concernant votre patient et l’examen (NOM, AGE, MODALITE, DATE DE L’EXAMEN, etc.).
La seconde contient l’image en elle-même. Elle est stockée sous la forme d’une matrice et chaque pixel est codé sous la forme d’un nombre.
Placez vous dans le dossier contenant votre fichier. Tapez la commande suivante. Votre image est alors décodée.
>> dicomread(’image_528.dcm')
17 12 18 16 14 19 19 13 13 13 16 10 16 15
17 17 20 12 14 16 15 14 17 15 21 20 12 16
12 14 19 19 14 17 18 10 16 16 17 23 15 20
11 16 13 20 16 13 13 13 13 21 15 18 18 16
14 15 14 15 13 21 15 15 21 10 16 15 10 16
15 20 14 13 13 20 14 11 11 17 14 17 19 19
13 15 19 12 14 15 12 16 17 17 13 19 17 19
15 20 14 18 17 13 17 17 15 16 17 10 15 13
12 19 14 19 11 16 14 15 14 17 14 16 21 8
10 23 15 18 15 14 15 13 14 16 16 18 17 10
19 11 15 19 16 13 18
Si vous rajoutez « ; » à la fin, l’image est lue mais MatLab n’affiche pas les valeurs de tous les pixels
>> dicomread(’image_528.dcm');
>>
L’image est lue mais pas stockée
>> A = dicomread('image_528.dcm');
>>
La variable A contient l’image lue
Bravo ! Vous venez de lire votre première image DICOM
Peaufinons un peu la technique
Commençons par la ranger dans une variable pour pouvoir la réutiliser
>> image1 = dicomread(’image_528.dcm’)
Ensuite, pas besoin d’afficher le contenu sous forme de chiffres. Nous pouvons cacher le résultat de la lecture en terminant les commandes par ;
>> image1 = dicomread(’image_528.dcm’);
Regardez dans le la mémoire de travail en haut à droite, vous devez voir apparaître votre image. On peut y lire son nombre, la taille de la matrice et le type (Cf. Stocker une variable)
Afficher une image
>> imshow(image1,’DisplayRange’,[])
>>
hop
>> imagesc(A)
>>
A suivre…
Prochaine étape : réaliser une soustraction
Si vous avez des questions ajoutez un commentaire à cet article
Disease limited to the endometrium OR non-aggressive histological type, i.e. low-grade endometroid, with invasion of less than half of myometrium with no or focal lymphovascular space involvement (LVSI) OR good prognosis disease
IA1 Non-aggressive histological type limited to an endometrial polyp OR confined to the endometrium
IA2 Non-aggressive histological types involving less than half of the myometrium with no or focal LVSI
IA3 Low-grade endometrioid carcinomas limited to the uterus and ovary
IB
Non-aggressive histological types with invasion of half or more of the myometrium, and with no or focal LVSI
IC
Aggressive histological types limited to a polyp or confined to the endometrium
Stade II
Invasion of cervical stroma without extrauterine extension OR with substantial LVSI OR aggressive histological types with myometrial invasion
IIA
Invasion of the cervical stroma of non-aggressive histological types
IIB
Substantial LVSI of non-aggressive histological types
IIC
Aggressive histological types with any myometrial involvement
Stade III
Local and/or regional spread of the tumor of any histological subtype
IIIA
Invasion of uterine serosa, adnexa, or both by direct extension or metastasis
IIIA1 Spread to ovary or fallopian tube (except when meeting stage IA3 criteria) IIIA2 Involvement of uterine subserosa or spread through the uterine serosa
IIIB
Metastasis or direct spread to the vagina and/or to the parametria or pelvic peritoneum
IIIB1 Metastasis or direct spread to the vagina and/or the parametriaIIIB2 Metastasis to the pelvic peritoneum
IIIC
Metastasis to the pelvic or para-aortic lymph nodes or both
IIIC1 Metastasis to the pelvic lymph nodesIIIC1i MicrometastasisIIIC1ii MacrometastasisIIIC2 Metastasis to para-aortic lymph nodes up to the renal vessels, with or without metastasis to the pelvic lymph nodesIIIC2i MicrometastasisIIIC2ii Macrometastasis
Stade IV
Spread to the bladder mucosa and/or intestinal mucosa and/or distance metastasis
IVA
Invasion of the bladder mucosa and/or the intestinal/bowel mucosa
IVB
Abdominal peritoneal metastasis beyond the pelvis
IVC
Distant metastasis, including metastasis to any extra- or intra-abdominal lymph nodes above the renal vessels, lungs, liver, brain, or bone
Angle de Dijan-Annonier d’ouverture de l’avant pied
Angle mesuré entrela droite passant par le point le plus antérieur du calcanéus, le point le plus inférieur du calcanéus et le rebord inférieur du sésamoïde de l’hallux
Vous ne le savez peut être pas encore, mais sur Excel vous avez la possibilité de faire toutes vos statistiques. Et ça, c’est bien pratique quand on rédige une thèse, un mémoire ou un article scientifique. (Je n’ai aucun conflit d’intérêt à déclarer avec la société Microsoft®)
Présentation d’excel
C’est quoi, Excel ?
Excel est un tableur créé par la société Microsoft®. Il a été conçu sous forme de cellules repérées grâce à l’adressage (Cf. « adressage »).
Il est très pratique pour faire des calculs, des tableaux, et des graphiques.
La sémAntique Excel
Un document Excel est appelé classeur.
Chaque classeur possède trois feuilles de calcul par défaut, on peut les voir en bas à gauche du classeur. On peut ajouter des feuilles à sa guise en cliquant sur ce bouton :
L’adressage
C’est simplement le nom d’une cellule définie par la lettre de sa colonne puis le chiffre de sa ligne.
Sur l’image ci-après la cellule F7.
Lorsque vous êtes dans une cellule, ses coordonnées (par exemple, F7) se colorient en orange dans les barres (en haut et à gauche).
Astuce Excel
Imaginons que vous vouliez remplir rapidement une colonne avec une succession de chiffres (ou de dates). Rentrez les deux ou trois premiers.
Sélectionnez les cases à répéter. Cliquez sur la petite croix (le petit +) en bas à droite des cases sélectionnées. Tirez vers le bas. Relâchez.
Vos cellules sont remplies automatiquement.
Cette astuces marche avec de multiples combinaisons. A vous de tester.
Les formules Excel
Excel permet de simplifier les calculs et de les modifier facilement. Nous allons commencer par du super simple avec de complexifier les choses. Dans ce tutoriel vous allez créer une feuille de calcul qui contient des données issues de l’analyse de vos patients. Imaginons que vous avez placé des ROI dans 6 zones chez 7 patients différents. Vous avez ensuite entré les valeurs de ces ROI dans un tableau comme suit.
Moyenne
Nous allons extraire un maximum d’informations de ces données grâce aux formules proposées par Excel. Et vous allez voir que vous n’avez pas besoin d’un logiciel de statistiques plus complexe. Commençons par calculer la moyenne des valeurs obtenues par les ROI. Créer une nouvelle colonne que vous appelez moyenne.
Vous cliquez ensuite dans la première case de la colonne. Vous tapez « =MOYENNE« . Les parenthèses s’ajoutent toutes seules.
Ensuite vous sélectionnez toutes les cellules qui doivent être prise en compte pour le calcul de la moyenne. Et surtout vous appuyez sur ENTREE lorsque c’est fini.
Ensuite vous cliquez dans le coin en bas à droite de la première case calculée et vous tirez vers le bas. Excel calcule toutes les autres moyennes des autres lignes. Rapide, efficace. Tout ce qu’on aime
Somme
On peut décliner le principe avec la somme : « =SOMME() »
Ecart-type
Ou encore le calcul de l’écart-type aussi appelé déviation standard : « =ECARTYPE() »
Plus « compliqué » : t-test
Imaginons que l’on souhaite réaliser un test apparié pour comparer deux méthodes d’imagerie. On va réaliser un t-test. Pour cela il faut faire deux colonnes contenant les deux méthodes à comparer entre elles. Chaque ligne est une observation réalisée pour chaque méthode.
Comme pour les formules précédentes, on tape « =T.TEST« . Il faut indiquer 4 argumentsà Excel. Le premier la méthode 1, le deuxième la méthode 2, 1 pour unilatéral et 2 pour bilatéral puis 1 car les observations sont pairées.
Dans cet exemple, la différence n’est pas significative.
Dans cet exemple, la différence est significative.
Conclusion
C’est relativement simple de faire ses statistiques sur Excel car le logiciel contient la plupart des fonctions de base pour l’écriture d’un papier. Par ailleurs on le trouve plus facilement que des logiciels plus complexes. Enfin, des milliers de tutoriaux sont disponibles sur internet donc un coup de main est plus rapide à trouver.
TECHNIQUE
– Séquences axiales : diffusion, FLAIR, T2*
– Séquences 3D : T1-IR (en écho de gradient)
RÉSULTATS
Structures médianes en place.
Pas d’anomalie du signal FLAIR du parenchyme cérébral sus ou sous tentoriel.
Quelques hypersignaux FLAIR de la substance blanche péri-ventriculaire, non confluents, aspécifiques.
Fazekas modifié : 0
Pas d’anomalie de trophicité cérébrale.
Atrophie cortico-sous-corticale diffuse, homogène, modérée, sans prédominance lobaire.
Trophicité hippocampique :
Scheltens 0 à droite
Scheltens 0 à gauche
Pas de stigmates hémorragiques intra ou extra axiaux en pondération T2*.
Pas d’hypersignal de diffusion du parenchyme cérébral.
Pas d’hydrocéphalie.
CONCLUSION Examen normal.
Pas de leucopathie vasculaire. Pas d’atrophie cérébrale notable.
Iconographie mise à disposition sous forme de planche papier et conservée localement sur le PACS.
TECHNIQUE
Injection biphasique de produit de contraste et acquisition sur la région cervicale.
Réalisation d’une manœuvre de Vasalva.
Réalisation d’une manœuvre de phonation.
Acquisition à l’étage thoracique.
DLP : mGy.cm
RESULTATS Etage cervical,
Absence de syndrome de masse de la filière pharyngo laryngée décelé.
Déplissement satisfaisant des sinus piriformes après manœuvre de Vasalva.
Absence d’adénopathie jugulo-carotidienne, sous angulo-maxillaire, pharyngée ou spinale décelée.
Espaces para-pharyngé, rétro-pharyngé et précervical libres.
Structures sinusiennes libres.
Absence de lésion osseuse évidente.
Pas d’anomalie notable de la thyroïde.
Etage thoracique,
Pas d’adénopathie axillaire ou médiastinale visible.
Pas d’épanchement pleuro-péricardique.
Pas d’anomalie de la paroi thoracique.
Pas d’anomalie des gros vaisseaux.
Quelques calcifications vasculaires.
Pas d’anomalie évidente du cadre osseux.
Sur les coupes passant par l’abdomen, absence d’anomalie notable.
Pas de foyer parenchymateux organisé ni nodule suspect visualisé.
Pas d’anomalie du calibre des bronches.
TECHNIQUE
Injection bi-phasique de produit de contraste iodé : 30 cc de produit de contraste à 1 cc/s – imprégnation de 120 sec – 60 cc de produit de contraste à 3 cc/s – acquisition en fin d’injection
Puis acquisition en respiration libre et après manœuvre de Vasalva sur la région cervicale.
Réalisation d’une manœuvre de phonation.
DLP : mGy.cm
Pas de complication au décours immédiat.
RESULTATS
Absence de syndrome de masse de la filière pharyngo laryngée décelé.
Déplissement satisfaisant des sinus piriformes après manœuvre de Vasalva.
Absence d’adénopathie jugulo-carotidienne, sous angulo-maxillaire, pharyngée ou spinale décelée.
Espaces para-pharyngé, rétro-pharyngé et précervical libres.
Structures sinusiennes libres.
Respect de la loge HTE
Absence de lésion osseuse évidente.
Pas d’anomalie notable de la thyroïde.
Axes jugulo-carotidiens perméables.
Calcul de la clairance de la créatinine selon Cockroft & Gault (< 65 ans)
Calcul de la clairance de la créatinine selon MDRD (> 65 ans)
Cet outil de calcul de la clairance de la créatinine est proposé à titre indicatif. Il s’adresse aux professionnels de santé formés. Le site www.pinkybone.com ne peut être tenu pour responsable en cas de conséquences indésirables.
Résultats du calcul de la Clairance de la créatinine
[0 – 30] mL/min Insuffisance rénale sévère
⇒ pas d’injection sauf nécessité absolue et avis spécialisé
[30-60] mL/minInsuffisance rénale modérée
⇒ chercher alternative à l’injection
[60-80] mL/min Insuffisance rénale légère
⇒ a priori pas de risquede néphropathie induite
> 80 mL/min Normale
⇒ A PRIORI PAS DE RISQUEDE NÉPHROPATHIE INDUITE
Formules du calcul de la clairance de la créatinine
Calcul de la clairance de la créatinine selon Cockroft et Gault
Chez l’homme =
Chez la femme =
Calcul de la clairance de la créatininee selon MDRD
MDRD = Modification of Diet in Renal Disease
Chez l’homme = 186 x (créatinine (µmoles/L) x 0,0113)-1,154 x âge– 0,203
x 1,21 pour les patients à peau noire
x 0,742 pour les femmes
Facteurs de risque de néphropathie induite à l’injection de produit de contraste iodé
Insuffisance rénale pré-existante
Diabète avec insuffisance rénale
Hypoperfusion rénale
Prise de médicaments néphrotoxiques ou modifiant la fonction rénale
Myélome avec protéinurie
Injection de produit de contraste iodé dans les 72 heures précédentes
Age supérieur à 65 ans
Si présents ⇒ dosage de la créatininémie < 3 mois et renouveler 2-3 jours après l’injection de produit de contraste iodé ⇒ arrêt metformine 48 heures après l’injection de produit de contraste iodé ⇒ hydratation +++ (2 Litres / 24h avant et après injection de produit de contrast iodé) ⇒ intervalle de 3-5 jours avec nouvelle injection de produit de contraste iodé
⇒ en cas de doute, avis spécialisé (néphrologue)
RESULTATS
Pas d’anomalie de la minéralisation osseuse.
Respect des interlignes articulaires fémoro-tibiaux interne et externe.
Pas de lésion ostéolytique ou ostéocondensant suspecte visible.
Pas de calcification pathologique des parties molles.
Patella en place sur le cliché de profil.
Pas de volumineux épanchement visualisé.
RESULTATS
Pas d’anomalie de la minéralisation osseuse.
Pas d’anomalie de la statique rachidienne sur cet examen réalisé en charge.
Respect de la hauteur des corps vertébraux et des espaces intersomatiques.
Pas d’arthrose interapophysaire postérieure évidente.
Pas de calcification des parties molles d’allure pathologique.
Pas de recul du mur postérieur.
Pas d’anisocorie pédiculaire.
Respect des interlignes articulaires sacro-iliaques.
TECHNIQUE
Hélice abdominale sans injection de produit de contraste.
Injection de produit de contraste et acquisition sur le thorax, l’abdomen et le pelvis.
Acquisition tardive sur l’encéphale.
DLP : mGy.cm
Examen comparé à celui réalisé le
Pas d’imagerie de référence disponible
RESULTATS Étage encéphalique
Absence de prise de contraste pathologique décelée.
Pas d’hydrocéphalie
Structures veineuses perméables
Étage thoracique En filtre médiastinal,
Pas d’adénopathie axillaire ou médiastinale visible.
Pas d’épanchement pleuro-péricardique.
Pas d’anomalie de la paroi thoracique.
Pas d’anomalie des gros vaisseaux.
Quelques calcifications vasculaires.
Pas d’anomalie évidente du cadre osseux.
Sur les coupes passant par l’abdomen, absence d’anomalie notable.
En filtre parenchymateux,
Pas de foyer parenchymateux organisé ni nodule suspect visualisé.
Pas d’anomalie du calibre des bronches.
Etage abdomino-pelvien
Foie de taille et de morphologie normale. Pas de dilatation des voies biliaires intra et extra hépatiques. Pas de lésion focale suspecte décelée.
Pancréas homogène sans dilation du Wirsung.
Rate homogène, de taille normale sans lésion focale décelée.
Surrénales fines.
Deux reins en position normale, sans lésion focale suspecte décelée. Pas de dilatation des voies urinaires.
Pas d’adénopathie coelio-mésentérique, para-lombo-aortique ou iliaque décelée.
Pas d’épanchement péritonéal.
Pas de densification pathologique de la graisse péritonéale.
Pas de distension des anses digestives.
INDICATION Test d’effort d’ischémie non réalisable, douteux ou non interprétable
TECHNIQUE
Bêtabloquants si FC > 65/min
Athenolol (Tenormine®) si pas de contre-indication (insuffisance cardiaque, BAV, asthme…)
Soit 50 mg PO, 1h avant examen
Soit 5 mg IVL juste avant examen
Acquisition hélicoïdale multiphasique rétrospective centrée sur le cœur et la crosse aortique avec synchronisation cardiaque après injection de produit de contraste iodé.
Bonne tolérance au décours immédiat de l’examen.
DLP : mGy.cm
RESULTATS Injection de qualité optimale / satisfaisante / sous optimale / médiocre Synchronisation de qualité optimale / satisfaisante / sous optimale / médiocre
Score calcique d’Agatston :
Fréquence cardiaque lors de l’acquisition : bpm
Volume télédiatolique : ml
Volume télésystolique : ml
Fraction d’éjection ventriculaire gauche : %
Absence de thrombus auriculaire décelé
Analyse coronaire :
Réseau droit / gauche dominant
A. Coronaire droite :
A. Coronaire gauche :
A. Circonflexe :
A. Interventriculaire antérieure :
Crosse aortique :
Pas d’épanchement pleuro-péricardique significatif.
Absence d’anomalie parenchymateuse pulmonaire décelée dans les limites du champs d’exploration.
Cette fiche est proposée à titre indicatif. Elle s’adresse aux professionnels de santé formés. Le site www.pinkybone.com ne peut être tenu pour responsable en cas de conséquences indésirables.
TECHNIQUE
Injection de produit de contraste iodé et acquisition au temps portal sur le thorax, l’abdomen et le pelvis.
DLP : mGy.cm
RESULTATS A l’étage thoracique : En filtre médiastinal,
Pas d’adénopathie axillaire ou médiastinale.
Pas d’épanchement pleuro-péricardique significatif.
Pas d’anomalie de la paroi thoracique.
Pas d’anomalie des gros vaisseaux ou des cavités cardiaques.
Pas de lésion ostéolytique ou ostéocondensante suspecte visualisée.
En filtre pulmonaire,
Pas de foyer parenchymateux organisé si nodule suspect visualisé.
Pas d’anomalie du calibre des bronches.
A l’étage abdomino-pelvien :
Pas de lésion focale suspecte visualisée sur le foie, les deux reins, le pancréas, la rate et les deux surrénales.
Pas d’épanchement péritonéal liquidien ou gazeux.
Pas d’adénopathie coelio-mésentérique, para lombo-aortique ou iliaque décelée.
Pas de densification pathologique de la graisse péritonéale.
Les orifices herniaires sont libres.
Pas de distension des anses digestives.
Pas de lésion ostéolytique ou ostéo-condensante suspecte.
CONCLUSION Absence d’anomalie décelée.
Iconographie mise à disposition sous forme de planche papier et conservée localement sur le PACS.
RESULTATS
Pas d’anomalie de la minéralisation osseuse.
Pas d’anomalie de la statique sur cet examen réalisé en charge.
Respect de la ligne spino-lamellaire.
Respect de la hauteur des corps vertébraux et des espaces inter-somatiques.
Foramens de conjugaison libres.
Bonne congruence des massifs articulaires.
Intégrité de l’odontoïde.
Pas de calcification des parties molles d’allure pathologique.
RÉSULTATS Bassin,
Respect des articulations sacro-iliaques.
Intégrité des cadres obturateurs.
Respect des articulations coxo-fémorales.
Pas de lésion lytique ou condensante suspecte décelée.
Pas de calcification des parties molles.
A droite, A gauche,
Pincement de l’interligne articulaire coxo-fémoral supéro-latéral de face (normale 4,2 mm homme, 3,9 mm femme)
Pincement interligne coxo-fémoral antéro-supérieur de profil
Ostéophhytose péri acétabulaire
Ostéocondensation sous chondrale prédominant sur l’acétabulum
Géodes sous chondrales
Epaississement de la corticale inférieure du col fémoral (très spécifique)
CONLCUSION Pas d’anomalie osseuse décelée. Coxarthrose stade 0 selon Kellgren et Lawrence Coxarthrose stade 1 selon Kellgren et Lawrence : pincement articulaire, ostéophytose péricapitale douteuse Coxarthrose stade 2 selon Kellgren et Lawrence : pincement articulaire, ostéophytose, sclérose osseuse modérée Coxarthrose stade 3 selon Kellgren et Lawrence : pincement articulaire net avec discrète ostéophytose, sclérose osseuse avec kyste, déformation de la tête fémorale et de l’acétabulum inime Coxarthrose stade 4 selon Kellgren et Lawrence : disparition de l’espace articulaire avec sclérose osseuse et kyste, importante déformation de la tête fémorale et de l’acétabulum, avec ostéophytose majeure.
TECHNIQUE
Sans injection de produit de contraste.
DLP : mGy.cm
RESULTATS
Pas d’anomalie de la statique rachidienne sur cet examen réalisé en décubitus dorsal.
Respect de hauteur des corps vertébraux.
Respect de la ligne spino-lamellaire.
Bonne congruence des massifs articulaires.
? Ostéophytose antérieure modérée étagée.
Pas de lésion ostéolytique ou ostéocondensante suspecte.
Pas d’arthrose inter-apophysaire postérieure.
Les foramens de conjugaison sont libres.
Pas d’anomalie de trophicité musculaire.
Calcifications carotidiennes et vertébrales bilatérales.
CONCLUSION Cervicarthrose très modérée sans conflit radiculaire décelé. Absence d’anomalie décelée
INDICATION Recherche de sténose des vaisseaux du cou.
TECHNIQUE
Injection de produit de contraste iodé et acquisition au temps artériel sur les troncs supra-aortiques
RÉSULTATS
– Crosse de l’aorte : absence de variation anatomique notable. Pas de calcification de la paroi.
– TABC : calibre normal et régulier. Pas d’anomalie ostiale. Pas d’anomalie de paroi.
– Artère sous-clavière droite : calibre normal et régulier. Pas d’anomalie ostiale. Pas
d’anomalie de paroi.
– Artère sous-clavière gauche : calibre normal et régulier. Pas d’anomalie ostiale.
Pas d’anomalie de paroi.
– Artère carotide droite : pas d’anomalie ostiale. Pas de sténose bulbaire ou sus bulbaire.
– Artère carotide gauche : pas d’anomalie ostiale. Pas de sténose bulbaire ou sus bulbaire.
– Artère vertébrale droite : calibre normal et régulier. Pas d’anomalie ostiale.
– Artère vertébrale gauche : calibre normal et régulier. Pas d’anomalie ostiale.
CONCLUSION Pas de sténose significative des vaisseaux à destinée cervico-encéphalique
Reconstructions curvillignes mises à disposition sous forme de planches et sur le PACS.
TECHNIQUE
Injection de produit de contraste iodé et acquisition au temps artériel sur les troncs supra-aortiques.
DLP : mGy.cm.
RESULTATS Injection de qualité satisfaisante.
Imprégnation athéromateuse calcifiée diffuse.
Etage thoracique, – Crosse de l’aorte : absence de variation anatomique notable. Pas de calcification de la paroi.
– TABC : calibre normal et régulier. Pas d’anomalie ostiale. Pas d’anomalie de paroi.
Etage cervical droit, – Artère sous-clavière : calibre normal et régulier. Pas d’anomalie ostiale. Pas d’anomalie de paroi. – Artère carotide primitive : calibre normal et régulier. Pas d’anomalie ostiale. Pas d’anomalie de paroi.
– Bulbe carotidien : calibre normal et régulier. Pas d’anomalie ostiale. Pas d’anomalie de paroi, pas de sténose significative.
– Carotide interne extra-crânienne : calibre normal et régulier. Pas d’anomalie ostiale. Pas d’anomalie de paroi, pas de sténose significative.
– Carotide interne intra-pétreuse : calibre normal et régulier. Pas d’anomalie de paroi.
– Carotide interne intra-caverneuse et supra-clinoïdienne : calibre normal et régulier. Pas d’anomalie de paroi.
– Artère vertébrale : calibre normal et régulier. Pas d’anomalie ostiale. Pas d’anomalie de paroi. Terminaison en artère basilaire.
Etage cervical gauche, – Artère sous-clavière : calibre normal et régulier. Pas d’anomalie ostiale. Pas d’anomalie de paroi.
– Artère carotide primitive : calibre normal et régulier. Pas d’anomalie ostiale. Pas d’anomalie de paroi.
– Bulbe carotidien : calibre normal et régulier. Pas d’anomalie ostiale. Pas d’anomalie de paroi, pas de sténose significative.
– Carotide interne extra-crânienne : calibre normal et régulier. Pas d’anomalie ostiale. Pas d’anomalie de paroi, pas de sténose significative.
– Carotide interne intra-pétreuse : calibre normal et régulier. Pas d’anomalie de paroi.
– Carotide interne intra-caverneuse et supra-clinoïdienne : calibre normal et régulier. Pas d’anomalie de paroi.
– Artère vertébrale : calibre normal et régulier. Pas d’anomalie ostiale. Pas d’anomalie de paroi. Terminaison en artère basilaire.
Etage intra-cranien, – Polygone de Willis : pas de sténose intra crânienne. Pas d’image ectasiante évidente.
CONCLUSION Pas de sténose significative. Imprégnation athéromateuse par ailleurs modérée.
Reconstructions curvilignes mises à disposition sur le PACS.
Sus-glottique : envahissement de la muqueuse (+/- muqueuse de la base langue +/- vallécule +/- paroi interne du sinus piriforme)
Glottique : envahissement des régions sus ou sous glottiques et/ou diminution de mobilité glottique
Sous-glottique : envahissement des cordes vocales, mobilité normale ou diminuée
N3
T3
Envahissement limité au larynx avec fixité glottique +/- envahissement de la régio rétro cricoïdienne +/- envahissement de la loge HTE (hyo-thyro-épiglottique) +/- envahissement de l’espace para-glottique +/- érosion du cartilage thyroïde
T4
T4a : envahissement du cartilage thyroïde +/- envahissement des structures extra-laryngées (trachée, tissus mous, muscles, thyroïde, oesophage)
1B : Hypodensité de la fissula ante fenestram (pré stapédienne) ≤ 1 mm, sans extension labyrinthique moyenne antérieure
Type 2
Hypodensité de la fissula ante fenestram (pré stapédienne) > 1 mm, sans contact avec la cochlée
Type 3
Hypodensité de la fissula ante fenestram (pré stapédienne) > 1 mm, avec contact avec la cochlée
Type 4
4A : Hypodensités péri-cochléaires
4B : Hypodensités labyrinthiques postérieures (canaux semi-circulaires ou vestibule)
Otospongiose
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